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Au cœur de Bruxelles, Maeva Lardin redéfinit la mode durable. Spécialisée dans la teinture à partir de plantes et de déchets alimentaires, comme les pelures d’avocat, elle offre une seconde vie à de vieux tissus et vêtements, alliant créativité et respect de l’environnement. Rencontre avec cette artiste proposant une oeuvre qui allie esthétique et éthique, à travers ses teintures et son travail de sérigraphie. Maeva Lardin vit à Bruxelles mais elle a grandi à la campagne d’où son attrait pour le floral et le végétal. De son enfance, elle a gardé le goût des balades dans la nature, dans les jardins en Belgique et à l’étranger, qu’elle photographie énormément. Son inclinaison pour le végétal, les fibres textiles, le travail de la main et plus globalement l’artisanat lui ont fait naturellement opter pour des études en design textile, le travail de la couleur et de la matière. Maeva s’illustre par son utilisation astucieuse de la nature pour créer des teintures. En exploitant les propriétés colorantes des plantes et des restes alimentaires, elle propose une alternative éthique aux teintures synthétiques. Les pelures d’avocat, d’oignon par exemple, ne sont pas seulement un déchet : elles deviennent une source de couleurs, tout en évitant le gaspillage. Son processus de teinture est minutieux. Chaque lot est une exploration des nuances que la nature peut offrir. En utilisant des méthodes artisanales ancestrales, Maeva crée des couleurs uniques, révélant la beauté intrinsèque des tissus souvent chinés. Cette approche met en avant la richesse des ressources naturelles et encourage une réflexion sur notre consommation textile. En plus de la création chromatique, Maeva a d’autres talents comme la couture et le dessin. Elle s’adonne également à l’impression sérigraphique, ajoutant une dimension artistique à ses œuvres. Les tissus teintés deviennent des toiles pour ses dessins, où des motifs végétaux et contemporains se rencontrent. Cette fusion de techniques donne naissance à des pièces uniques. En intégrant des éléments visuels qui évoquent la nature et l’environnement, elle cherche à sensibiliser son public aux enjeux du recyclage et de la durabilité. 0:00 Teinture végétale écoresponsable : la passion de Maeva Lardin | Jardins et Loisirs ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Jardins & Loisirs sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/jardins-et-loisirs Facebook ► https://www.facebook.com/JardinsEtLoisirs/ Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_jardins-loisirs?id=20 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #colors #teinture #écoresponsable #portrait #JardinsetLoisirs #rtbf
Le #thon en boite contient du #mercure ? #rtbf #MAJ #MAJRTBF #shorts
François Mazure est appelé sur un accident spectaculaire. Une voiture a chuté d’une falaise sur plusieurs mètres. À bord de l'hélicoptère de la garde aérienne suisse de sauvetage, la REGA, il a pu être le témoin de cette opération de sauvetage dirigée par de grands professionnels... François Mazure découvre les sauveteurs de l'extrême en Suisse pour les amateurs d'Un Monde à part. 0:00 REGA : les sauveteurs de l'extrême sont en Suisse - Un Monde à part ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Un Monde à part sur : Le site RTBF TV ► https://www.rtbf.be/emission/un-monde-a-part Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_un-monde-a-part?id=19466 Facebook ► https://www.facebook.com/UNMONDEAPARTRTBF Instagram ???? https://www.instagram.com/unmondeapart_rtbf/ ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #suisse #rega #sauvetage #unmondeapart #documentary #reportage #rtbf
Je découvre le #métier d'arboriste grimpeuse #lesaventureuses #rtbf #immersion #shorts
Le GIEC, c'est LE groupe d'experts sur lequel le monde entier se base afin d'anticiper les futurs climatiques possibles. Mais... est-on certain que le GIEC soit vraiment fiable ? En d'autres termes : comment sont choisis les scientifiques qui le composent ? À quel point doivent-ils rendre des comptes aux différents gouvernements ? Et leurs conclusions ne sont-elles pas un peu catastrophistes ? Analyse en compagnie du scientifique belge François Gemenne. 0:00 Peut-on croire les scientifiques du GIEC ? - Y a Pas de Planète B ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Pour aller + loin : - Un livre super du journaliste Sylvestre Huet intitulé "GIEC : urgence climat - Le rapport incontestable expliqué à tous". Il y détaille en profondeur l'histoire et le fonctionnement du GIEC, et ce livre nous a notamment permis de préparer cet épisode : https://www.tallandier.com/livre/le-giec-urgence-climat/ ; - Le site de la Plateforme wallonne pour le GIEC, une plateforme créée par le gouvernement wallon pour faciliter la compréhension des enjeux et la mise en place de solutions aux changements climatiques : https://www.plateforme-wallonne-giec.be/actualites/ ; - Le site officiel du GIEC, où l'on retrouver tous les rapports et leurs résumés : https://www.ipcc.ch/ ; - Et une petite trouvaille : le "Chat GPT du climat", une intelligence artificielle nourrie sur base des rapports du GIEC et de l'IPBES (l'équivalent du GIEC pour la biodiversité), et qui permet de répondre à toutes les questions que l'on peut se poser sur le rapport, tout en nous indiquant les pages précises qui y sont liées : https://climateqa.com/ Et pour toute question ou information complémentaire, n’hésitez pas à nous écrire à l’adresse : yapasdeplaneteb@rtbf.be On vous y répondra avec plaisir ! ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez Y a Pas de Planète B Sur Auvio ► https://auvio.rtbf.be/emission/y-a-pas-de-planete-b-23824 Sur le site RTBF.be ► https://www.rtbf.be/ Sur Facebook ► https://www.facebook.com/yapasdeplaneteb ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #giec #climat #solution #yapasdeplanèteb #RTBF
Mitrailleuses, fusils d'assaut, bus en feu... Bienvenue à l'OFASTS #investigation #rtbf #shorts
Les produits et les conditions de travail dans des ongleries asiatiques sont réputés douteux. Et ce ne serait rien, comparé à des pratiques encore plus choquantes : trafic d’êtres humains et exploitation économique. A Bruxelles, les ongleries asiatiques qui s'installent sont de plus en plus nombreuses. Une des raisons de leur succès : des tout petits prix. Ce qui pose question, ce sont les travailleurs, au noir ou en situation illégale, qui travaillent dans ces ongleries. "C’est le nouvel esclavage moderne." résume pour nous Sophie Jekeler, présidente de la fondation Samilia, qui lutte contre toutes les formes de traites d’êtres humains. Derrière le vernis de ces bars à ongles, la réalité ne serait en effet pas toujours belle à voir. En plein cœur de la capitale européenne, Bruxelles, des ongleries asiatiques se sont installées côte à côte par dizaines. Elles investissent maintenant aussi d’autres villes du royaume, comme Namur ou Liège. La raison de leur succès : des prix cassés. L’emploi de travailleurs non déclarés et en situation illégale expliquerait ces tarifs bon marché, comme nous l’explique Bruno Devillé, inspecteur à l’ONSS, l’Office national de sécurité sociale, attaché à ce dossier "des ongleries asiatiques" depuis sept ans : "Ce dont on est certains, maintenant, c’est que ces personnes-là sont des migrants mais déjà qui migrent dans le cadre d’un trafic organisé par des bandes criminelles. Il faut savoir que dans les 39 morts d’Essex, 39 migrants retrouvés morts dans un camion, quelqu’un était passé par ces ongleries, ça, on en a la preuve." Une fondation de lutte contre la traite des êtres humains, la fondation Samilia, parle d’esclavage moderne. Elle a même fait de cette question une campagne pour sensibiliser les consommateurs belges, intitulée "Sous le vernis, l’exploitation humaine." Nous nous sommes rendus dans la Galerie du Centre à Bruxelles, sans doute l’endroit qui concentre le plus d’ongleries en Belgique. Une trentaine s’y est installée. Une dame, d’origine vietnamienne, nous reçoit dans l’une des trois ongleries qu’elle gère. Elle accepte de répondre à nos questions et surtout aux critiques émises contre leur secteur. Elle nous le certifie. Chez elle, tout serait légal. Elle nous sort une farde remplie de document : "Contrat de travail du personnel même les cartes d’identité, tout est là." nous détaille Thi Lan Nguyen, gérante de trois ongleries à Bruxelles. L’autre point noir de ces ongleries, ce seraient les conditions de travail. Dans une autre boutique, notre stagiaire Louane Duray, accompagnée d’une amie va en faire la malheureuse expérience. Alors que son amie se fait faire une manucure, Louane qui filme discrètement ressent subitement une gêne au milieu des odeurs fortes de solvant : "L’odeur, elle me pique un petit peu les yeux." s’exprime-t-elle alors. Les produits utilisés ne seraient pas toujours conformes. L’hygiène et l’aération des locaux laisseraient également à désirer. A leur sortie de l’onglerie, Louane et son amie témoignent : "L’odeur est tellement forte que ça prend la tête quoi. On a l’impression que l’on va s’évanouir tellement c’est fort et puissant." nous rapporte Louane. Aurait-elle été victime de vapeurs toxiques ? Le lendemain, son ophtalmologue lui a diagnostiqué une conjonctivite. L’amie, elle, n’est pas très satisfaite de sa manucure : "Les côtés, ce n’est pas droit et ils utilisent de la colle forte contre la peau et ça fait très mal." Bref, ces ongleries sont deux fois moins chères qu’ailleurs, mais à quel prix pour votre santé et la vie de ces travailleurs ? Des enquêtes sociales, de Santé Publique et judiciaires sont en cours. 0:00 L'exploitation humaine derrière les vitrines de bars à ongles - On n'est pas des Pigeons ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi On n'est pas des pigeons sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/on-n-est-pas-des-pigeons La page Facebook ► https://www.facebook.com/OnNestPasDesPigeons/ L'émission TV ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=2813 L'émission radio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=8792 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #nails #bar #exploitation #ONPP #OnNestPasDesPigeons #RTBF
Retrouvez l'intégralité du podcast "L'Heure H" sur RTBF Auvio : https://bit.ly/heureh Attention, l’histoire qui suit est particulièrement violente. Ne prolongez l’écoute ou la lecture uniquement si vous vous sentez capable d’entendre ou de lire des faits et détails particulièrement sombres et déconcertants. 3 heures du matin. New York est en train de dormir. Depuis plusieurs mois, la Grosse Pomme, et plus particulièrement le Queens, est en proie à de terribles événements. Un homme, que personne n’a encore réussi à voir, surgit sans prévenir, se dirige vers des voitures qui semblent être choisies au hasard et tire sur les occupants. Sans raison apparente. À la fin des années 70, une série de meurtres brutaux plonge la ville américaine dans l’horreur. David Berkowitz, plus connu sous le nom de Fils de Sam a tué six personnes et en a blessé sept autres entre 1976 et 1977. Ses victimes sont principalement des jeunes femmes brunes dans des voitures. Animé par des voix qu’il croyait être des ordres de Satan, Berkowitz a laissé des lettres dérangées aux enquêteurs, se désignant comme "Mr Monster"… Nous sommes le 17 avril 1977. Aujourd’hui, Valentina Suriani et Alexandre Esaü vont mourir. Les deux forment un de ces jeunes couples sur lequel la vie ne semble avoir aucune prise. Lui est conducteur de dépanneuse, elle, mannequin promise à un bel avenir. Ils vont se fiancer, le vent les pousse dans le dos. Ces jeunes ont la vie pour eux, et pourtant, voilà qu’elle s’apprête déjà à les quitter… À l’abri dans leur voiture, les deux tourtereaux discutent de leurs projets de vie. Malheureusement, alors qu’elle commence à peine, leur idylle s’apprête à se terminer. Dans les larmes, et dans le sang. Tout près d’eux, cachée à l’orée d’un petit parc jouxtant leur position, une ombre s’avance. D’un sac en papier, un homme sort un calibre 44. Il arme le chien. Appuie le canon contre la vitre de la voiture. Assise sur le siège du passager, la jeune femme est en train de rire lorsque le coup de feu éclate. Une balle lui traverse la tête et la tue sur le coup. Elle s’effondre sur le levier de vitesse du véhicule. Alexandre tente de sortir de l’habitacle, hurle son désarroi mais 2 balles viennent rapidement se loger dans son crâne. Il agonise sur le tableau de bord. La scène s’est déroulée en quelques secondes seulement. La main armée de la mort, incognito, vient de regagner l’obscurité du parc. Cependant, et c’est inédit, le tueur a déposé sur le corps de la jeune mannequin une lettre. Elle est signée de son nom : Mr Monster, monsieur monstre. Jack et Paul sont coéquipiers dans les forces de police de la ville depuis des années. Ce soir du 17 avril, ils sont de garde et circulent au hasard le long des routes de leur secteur en attendant un éventuel appel… et le voilà. A la radio, on leur annonce que 4 coups de feu ont été signalés à 5 minutes de leur position. Les deux gaillards se rendent sur les lieux sans tarder. En arrivant, ils découvrent une scène indescriptible. Fébrilement, armes à la main, ils s’approchent de la voiture, comme effrayés à l’idée de voir un monstre en sortir. Alexandre n’est pas mort, et une ambulance est dépêchée sur place. Hélas, la vie le quitte. L’équipe prévient également ses supérieurs de la découverte de la lettre. La lettre est bourrée de fautes d’orthographe, tout cela ne semble rien vouloir dire. Il n’y a qu’une chose, au fond, qui semble limpide pour les membres des forces de l’ordre arrivés les premiers sur la scène : ce gars-là est imprévisible. Totalement malade. Ce que les policiers ignorent à ce stade, c’est que le Fils de Sam n’est pas à son coup d’essai. Loin de là, même. 0:00 David Berkowitz : Mr. Monster à New-York - Dans la tête du tueur (1/10) ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez La Première Sur Auvio ► https://auvio.rtbf.be/chaine/la-premiere-6 Sur le site RTBF ► https://www.rtbf.be/lapremiere Sur Facebook ► https://www.facebook.com/LaPremiereRTBF ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #monster #newyork #murdermystery #podcast #belgium #lapremierertbf #rtbf 3259413
Nathalie Guirma vous emmène à la découverte des plus beaux villages de Jodoigne. Cette année, le Réseau des Plus Beaux Villages de Wallonie souffle ses 30 bougies ! Les Ambassadeurs s'installent à Jodoigne, où Saint-Remy-Geest et Mélin ont tous deux reçu le label. Le paysage rural, les traditions, les saveurs locales, la convivialité, la participation citoyenne sont autant d'arguments pour être reconnu PBVW. Le patrimoine bâti de ces villages particulièrement lumineux attire le regard, il est en grande partie édifié en pierre locale, la fameuse pierre de Gobertange. Nathalie Guirma, en visite aux ateliers Bernard, tailleurs de pierre de père en fils, admire le travail de ces artisans. Au printemps, les visiteurs munis d'un plan, s'en vont à pied ou à vélo parcourir les rues et les jardins du village de Mélin. Au fil du parcours, la diversité des atmosphères est étonnante avec des espaces à l'anglaise, des potagers, vergers, espaces aquatiques, roseraies, sans oublier les cours fleuries des fermes. 0:00 Les plus beaux villages de Jodoigne - Les Ambassadeurs ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Les Ambassadeurs sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/les-ambassadeurs Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_les-ambassadeurs?id=8802 Facebook ► https://www.facebook.com/lesambassadeursRTBF/ ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF 2024 #village #jodoigne #belgium #reportage #lesambassadeurs #rtbf
Limite ton temps à scroller sur ton #smartphone réduit les effets négatifs #rtbf #lapremiere #shorts
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Mais qu’est-ce qu’un Arboriste/ Grimpeur/ élagueur ? Où peut-on suivre une formation et à qui s’adresse-t-elle ? Dans cette émission, je vous emmène à la découverte d’un métier fascinant, en pleine nature, avec tout l'équipement nécessaire pour grimper dans les arbres et les entretenir en toute sécurité. Pour cette aventure, j’ai dû me préparer minutieusement : entre matériel technique et connaissances indispensables, mon sac à dos était bien rempli pour affronter une journée à la cime des arbres. Et en chemin, j’ai découvert quelques astuces et bons plans que je partage avec vous, afin que vous puissiez, vous aussi, explorer ce métier passionnant. L’arboriste grimpeur-élagueur/grimpeuse-élagueuse est un-e professionnel-le qui grimpe dans les arbres pour les soigner et les entretenir. Il/Elle joue souvent un rôle essentiel dans la gestion durable des espaces verts. Leur travail ne se limite pas uniquement à la taille des arbres dangereux ou malades, mais inclut aussi des missions de préservation de l’écosystème arboré comme poser un diagnostic, tenir compte du milieu environnant, évaluer les risques sanitaires et mécaniques. Le maraîchage biologique est une forme d’agriculture qui se concentre sur la production de fruits, légumes et autres produits végétaux, tout en respectant des principes stricts de durabilité et de respect de l’environnement. Cela signifie qu’il ne fait pas usage de produits chimiques de synthèse comme les pesticides, herbicides ou engrais artificiels, et qu’il vise à préserver la fertilité des sols, la biodiversité, et l’équilibre des écosystèmes naturels. Marlis est arboriste élagueuse grimpeuse ! Jeune maman originaire du Chili formée en agronomie, Marlis a décidé il y a 7 ans de changer de métier. Passionnée de nature et d’aventure, elle travaille quotidiennement à plus de 20m de haut scie et tronçonneuse à la main. À ses côtés pour la journée notre journaliste "aventureuse" Hélène, se met au défi de tester le métier. Un épisode loin d’être de tout repos sous une météo orageuse qui compliquera peut-être un peu les choses ! 0:00 Je découvre le métier d'arboriste grimpeuse | Les Aventureuses ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Les Aventureuses sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/archive/les-aventureuses Facebook ► https://www.facebook.com/RTBF Auvio ► https://auvio.rtbf.be/emission/les-aventureuses-28230 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF 2024 #arborist #job #interview #lesaventureuses #rtbf
Matière Grise se penche cette semaine sur la science et la fiction, deux mondes totalement opposés qui se complètent pourtant plus qu'on pourrait le croire. Si on vous dit Interstellar, Matrix et beaucoup d’autres : en fait de nombreux classiques du cinéma d’anticipation ont été réalisés avec des scientifiques qui ont aidé à rendre plausibles des environnements futuristes. Mais si le cinéma s’inspire régulièrement de recherches existantes, l’inverse est aussi vrai parfois ! Certains chercheurs ne dédaignent pas la science-fiction, bien au contraire. Le flux d’inspiration est réciproque. Dès lors y a-t-il de véritables recherches menées sur des phénomènes improbables ? Comme l’invisibilité par exemple ? Eh bien oui… Réponse avec Matière Grise. 0:00 Science ou fiction : le cinéma et la science s'inspirent mutuellement - Matière Grise ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez Matière Grise sur tous nos réseaux : Facebook : https://www.facebook.com/MatiereGriseRTBF/ Site web : https://www.rtbf.be/emission/matiere-grise Auvio : https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_matiere-grise?id=65 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #science #fiction #cinema #thesis #documentary #RTBF #MatièreGrise
Je retrouve ma famille d'accueil à #cuba 17 ans plus tard #rtbf #shorts #unmondeapart
Retrouvez l'intégralité du podcast "L'Heure H" sur RTBF Auvio : https://bit.ly/heureh Le 1er mars 1924, Émile Fradin et son grand-père défrichent une petite zone boisée au fond des champs d'un petit hameau perdu au milieu de l'Auvergne. Alors que les deux hommes se démènent pour faire avancer leur charrette et les bœufs, l'un des animaux s’effondre. Son pied s’enfonce dans le sol. En le libérant, le jeune Émile fait la découverte du siècle. Là où le boeuf s’est effondré, on aperçoit un trou. Au beau milieu des champs, dans le hameau de Glozel, dans ce patelin perdu au fin fond de l’Auvergne, le garçon de 17 ans observe une fosse faite de briques, qui s'apparente à une sépulture très ancienne. Au fond, il trouve des outils en pierre, des os, des fragments en céramique. Peut-être même des objets préhistoriques… Le jeune paysan ne le sait pas encore, mais cette trouvaille fera beaucoup de bruit. Car elle pourrait bien être l’une des plus grandes découvertes archéologiques de l’Histoire. Mais cette affaire va prendre une ampleur inespérée. Polémique, assassinat, procès : la vie du jeune Émile va basculer. Rapidement, la sépulture attire l'attention d'archéologues amateurs. L'un d'entre eux se rend sur place : il est époustouflé par la découverte. Pour lui, ce qui s’apparente à une tombe semble plutôt être un petit four antique, datant de la période gallo-romaine… Pendant un an, au fond de cette petite vallée verte, au sud de Vichy, des fouilles sont réalisées régulièrement. Autour et dans le four, on découvre des haches, des vases, des vieilles briques et de nombreux ossements. Mais après des mois de recherches, et de l'argent dépensé, ce petit four gallo-romain n'intéresse plus… au grand désarroi du jeune Émile. Pourtant, ce dernier n’en démord pas. Il est certain d'être face à un trésor, et il veut le prouver. L’adolescent se transforme en archéologue du dimanche, et se met lui aussi à réaliser des fouilles. C’est alors qu’il fait la rencontre d’un homme, un archéologue amateur, qui va chambouler son destin. Cet archéologue, c’est le Docteur Antonin Morlet. Ce docteur Morlet est plutôt habitué aux fouilles gallo-romaines. En observant les trouvailles du jeune Émile, il en est certain et il l’affirme : ces objets pourraient être vieux de 8.000 ou 15.000 ans. En 1925, alors que les deux hommes creusent, ils tombent sur des objets absolument incroyables : au vu de la technique, le Docteur Morlet estime qu’elles pourraient dater de 6.000 à 8.000 ans avant Jésus-Christ. Or, sur ces tablettes, on peut lire des inscriptions : des symboles, des croix, des cercles, des traits. Des insignes qui font penser à un texte indéchiffrable, un alphabet inconnu qui va bouleverser le monde scientifique. Car si ce petit bout d'argile date bien de 6.000 ans avant Jésus-Christ, alors il remet en question la conception que l’on a de l’apparition de l’alphabet. Si le Docteur Morlet dit vrai, alors l’alphabet n’est pas apparu en moins 1.000 au Proche-Orient, mais en moins 6.000 en Auvergne ! Il y aurait eu ici, à Glozel, une civilisation préhistorique. Durant les fouilles, on trouve aussi des sculptures représentant un être bisexué, avec des parties génitales d’hommes et de femmes. Un type de sculpture que l'on n'avait jamais vu auparavant. On dégage aussi énormément d’ossements. A tel point que le site est surnommé : "Le champ des Morts". Dans les colonnes des journaux, les Français observent une bataille entre deux voix, deux pensées. Il y a d’un côté "les Glozéliens", qui estiment que les découvertes faites à Glozel sont vraies. Et celle des "Anti-Glozéliens" qui eux, pensent que toute cette affaire n’est qu’une vaste tromperie. Pendant des semaines, les gens sont captivés par cette histoire. Les visiteurs déferlent en nombre sur les terres de Glozel. Qui dit vrai ? Ces objets sont-ils authentiques ? Datent-ils de la Préhistoire ? Y a-t-il eu une civilisation ancienne, ici, à Glozel ? Faites la lumière sur l'Affaire Glozel dans ce podcast de L'Heure H, entre tromperie et débat houleux qui amèneront jusqu'au meurtre... 0:00 L'affaire Glozel : mystère archéologique remettant en cause l'apparition de l'écriture - L'Heure H ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez La Première Sur Auvio ► https://auvio.rtbf.be/chaine/la-premiere-6 Sur le site RTBF ► https://www.rtbf.be/lapremiere Sur Facebook ► https://www.facebook.com/LaPremiereRTBF ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #mystery #glozel #archeology #histoire #podcast #belgium #lapremierertbf #rtbf 3170543
Chez les étudiants, le mois de mai correspond à la période du blocus, mais aussi à la période où la recherche d’un kot doit être bien avancée. Depuis plusieurs années, le constat est le même : il n’y a pas assez de logements par rapport au nombre d’étudiants. Pire encore : 2023 a vu une augmentation du nombre d’étudiants de 2%. Et avec la loi de l’offre et de la demande, le prix des logements a augmenté. Selon des chiffres récoltés par Stadim, un bureau de conseil en immobilier, et Diggit Studentlife, une organisation qui propose des logements étudiants, il y avait 517.500 étudiants en Belgique lors de l’année académique 2022-2023. Ce qui représente une augmentation de 2% par rapport à l’année précédente. Quant au prix des kots, ils ont augmenté en raison de l’inflation et de la hausse du coût de l’énergie. Il y a trois ans, le loyer moyen était de 400€, sans charge. Aujourd’hui, un étudiant paie en moyenne 470€. Lorsque les charges sont comprises, le loyer grimpe à 565€, un sacré budget. Bruxelles, Gand et Louvain sont les principales villes étudiantes. Dans la capitale, l’ULB compte 40.000 étudiants. Un chiffre qui n’a fait qu’augmenter ces dix dernières années sans que l’offre de logement ne suive la même tendance. Jean-Christophe Goffard, vice-recteur aux affaires étudiantes et sociales de l’ULB, interrogé par Stadim : "Les étudiants ont de plus en plus de mal à trouver un logement. Ils commencent à chercher de plus en plus tôt et dès le mois de mai, une grande partie des kots sont déjà réservés, ce qui complique la recherche". Pour Ans Persoons, secrétaire d’État bruxelloise à l’urbanisme et au patrimoine, des projets de logements étudiants à grande échelle sont nécessaires, mais en maintenant un certain équilibre dans les quartiers. "Je suis tout à fait favorable à des complexes plus grands", explique-t-elle auprès de Stadim. "C’est important pour sauvegarder le marché résidentiel traditionnel pour les familles et le maintenir en équilibre. Cela ne signifie pas qu’il doit toujours s’agir de méga projets de 200 chambres ou plus". D’après Stadim et Diggit Studentlife, le secteur du logement étudiant est prisé par les grands et les petits investisseurs. Un petit investisseur peut être tenté par l’achat d’une chambre étudiant en pensant aux besoins futurs de ses enfants. Les grands investisseurs sont, eux, intéressés par le rendement et les projets se multiplient. Stadim cite, par exemple, le projet Meyboom qui prévoit la construction, en plein centre de Bruxelles, de 230 unités ou encore le projet Ukot à Liège qui prévoit la création de 400 logements et le projet du Passage du Centre à Mons qui en prévoit 300. Selon les calculs de Stadim, les projets de logements étudiants développés en ce moment représentent une valeur d’investissement totale estimée à près d’un demi-milliard d’euros. Ce qui intéresse les investisseurs, c’est donc le rendement. D’après Stadim, ceux-ci sont plus élevés pour les logements étudiants que pour les investissements résidentiels plus traditionnels. Cela s’explique notamment par les contrats de location de courte durée (10 à 12 mois), les modalités de résiliation ou encore la gestion et l’entretien intensifs des bâtiments. Alors avis aux investisseurs… Des logements de qualité dans les villes estudiantines sont importants. Jean-Christophe Goffard, vice-recteur aux affaires étudiantes et sociales de l’ULB, conclut auprès de Stadim et Diggit Studentlife : "Le logement étudiant est aussi, à mon avis, directement lié à la réussite des études. On ne peut donc pas dissocier l’infrastructure de logement de la qualité de l’enseignement". 0:00 Trop d'étudiants pour le nombre de logements : que faire ? - On n'est pas des Pigeons ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi On n'est pas des pigeons sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/on-n-est-pas-des-pigeons La page Facebook ► https://www.facebook.com/OnNestPasDesPigeons/ L'émission TV ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=2813 L'émission radio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=8792 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #etudiant #logement #students #ONPP #OnNestPasDesPigeons #RTBF
Redécouvrez l'interview exclusive et intégrale de François de Brigode réalisée par Joëlle Scoriels en 2015 pour l'émission 69 minutes sans chichis. Un souvenir RTBF inoubliable. 0:00 François de Brigode dans 69 minutes sans chichis ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi 69 minutes sans chichis sur : Le site RTBF ► hhttps://www.rtbf.be/mot-cle/69-minutes-sans-chichis Auvio ► https://auvio.rtbf.be/emission/69-minutes-sans-chichis-5727 Facebook ► https://www.facebook.com/lesambassadeursRTBF/ ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF 2015 #francoisdebrigode #divertissement #rtbf #69minutessanschichis #joellescoriels #emission #interview
L’ipomée ou Volubilis est une magnifique plante ornementale venue des régions tropicales. De la même famille que la patate douce, sa floraison foisonnante s’étend de juillet jusqu’aux premières gelées. Comme elle est fruleuse, ses tubercules ne restent pas en terre durant la saison froide et doivent être stockés dans le noir complet dans une pièce chauffée entre 8 et 15 degrés C. Les ipomées peuvent être utilisées comme plante grimpantes avec un tuteur ou comme retombante dans une jardinière. Voici des conseils pour la culture de cette belle plante exotique. Les ipomées sont principalement originaires des régions tropicales et subtropicales d’Amérique même si on en trouve également dans certaines parties de l’Asie et d’Afrique. Certaines espèces, comme l’Ipomoea batatas (patate douce), sont cultivées pour leurs tubercules comestibles, tandis que d’autres, comme l’Ipomoea purpurea, sont prisées pour leur floraison ornementale. Toutes les ipomées ont une croissance très rapide et couvrent en un rien de temps une pergola, un treillis adossé à un mur ou une jardinière posée sur un appui de fenêtre. Intéressons-nous tout spécialement à l’ipomée batatas, la fameuse patate douce, dont certaines variétés sont ornementales principalement grâce à leur feuillage proposant une multitude de teintes du vert lumineux au pourpre presque noir. Toutes les variétés de patates douces d’ornement appartiennent au genre Ipomea (famille des Convolvulacées) qui compte plus de 500 espèces de plantes volubiles rampantes ou grimpantes. Les jardiniers utilisent de plus en plus les ipomées batatas d’ornement pour apporter du contraste dans les parterres ou dans les suspensions. Un contraste tant dans les couleurs que dans les formes avec par exemple la variété 'Margarita' aux grandes feuilles en forme de cœur d’un vert pétillant ou la 'Blacky' au feuillage découpé de couleur pourpre et aux fleurs bleues sans oublier la 'Purple heart' et la 'Sweet Caroline'. Même si elles tolèrent la mi-ombre, les Ipomea babatas aiment le plein soleil et la chaleur. Pour un bon développement, la température doit avoisiner les 20° C. Le tubercule sera planté dans un sol fertile, léger et frais en été. Un ajout de compost et de fumier décomposé est conseillé si le sol est pauvre. En pleine terre, arrosez-les régulièrement. Le sol ne doit jamais être complétement sec, surtout en été et par temps venteux. Nul besoin d'apporter de l'engrais si le sol a été amendé à la plantation. Pour la culture en pot, pensez à bien drainer le fond du contenant avec une bonne couche de billes d’argiles ou de graviers. Ne laissez pas d’eau dans la coupelle et arrosez dès que la terre sèche sur 1 cm. Si vos ipomées batatas sont installées en pleine terre, ne vous cassez pas la tête et laissez-les dans le sol. Comme elles ne survivront pas à l’hiver, vous devrez racheter des nouvelles plantes ou semez, au printemps, des graines que vous auriez éventuellement récoltées. Par contre, celles installées dans des pots, vous avez deux options : Rentrer le pot dans une pièce lumineuse non chauffée (entre 8 et 12 °C), genre une véranda. Pendant l’hivernage, l’arrosage sera modéré. Le pot pourra être retrouver l’air de l’extérieur mi-mai. Déterrer les tubercules en ne gardant que ceux qui sont sains. Lavés et bien secs, ils seront stockés dans une caisse en carton entre des feuilles de papier journal. Les tubercules ne doivent pas se toucher et le carton ne doit pas être hermétique. Ils risqueraient de pourrir. Installés dans le noir complet à une température allant de 8 à 15°C, vous pourrez les replanter en pot ou encore en pleine terre à la mi-mai, une fois tout risque de gelées tardives passé. 0:00 Ipomées batatas : culture et entretien de ces belles plantes exotiques | Jardins et Loisirs ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Jardins & Loisirs sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/jardins-et-loisirs Facebook ► https://www.facebook.com/JardinsEtLoisirs/ Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_jardins-loisirs?id=20 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #exotic #plants #tuto #diy #doityourself #JardinsetLoisirs #rtbf
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Sur les pentes escarpées qui bordent le Léman, à deux pas de Lausanne en Suisse, se dresse l'un des vignobles les plus incroyables de la planète. Les terrasses de Lavaux révèlent une viticulture ancestrale et hors du commun, dans un cadre à couper le souffle... François Mazure part en Suisse pour découvrir le plus beau vignoble au monde pour les amateurs d'Un Monde à part. 0:00 Le plus beau vignoble au monde se trouve en Suisse - Un Monde à part ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Un Monde à part sur : Le site RTBF TV ► https://www.rtbf.be/emission/un-monde-a-part Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_un-monde-a-part?id=19466 Facebook ► https://www.facebook.com/UNMONDEAPARTRTBF Instagram ???? https://www.instagram.com/unmondeapart_rtbf/ ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #suisse #vin #lavaux #unmondeapart #documentary #reportage #rtbf
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