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Les moules frites, c’est notre plat national. Le problème, c’est que c’est devenu un plat de luxe. L’addition s’apparente à un coup de fusil. Le prix monte parfois jusqu’à 30€ pour une casserole de moules. On trouve des moules à 12€ au menu en France. Deux fois moins chers qu'en Belgique. D'où vient cette différence de prix ? Il y a plusieurs raisons qui expliquent cela. Tout augmente. Les prix ont plus que doublé en 10 ans, mais c’est le cas aussi en France. Il faut aller chercher ailleurs la raison. Notamment dans une région productrice de moules. Laquelle à votre avis ? Le Belge est un consommateur de moules de Zélande ! 60% des moules qui y sont produites sont destinées à la Belgique. C'est à Yerseke, un petit port, où sont stockés au large des centaines de milliers de moules. Cela permet de les traiter rapidement lorsqu’elles sont sorties de l’eau au moyen d’énorme filets. Juste à côté du lieu de pêche, il y a une usine dans laquelle les moules sont nettoyées, dégrappées et triées. Il faut imaginer une usine avec un bruit de dingue, avec des tapis roulants où sont chargées des tonnes de moules. Si vous prenez des jumbos, votre plat sera plus cher. Et en Belgique, on aime bien les grosses moules. En France, en revanche, on mange des petites, pas trop chères : les moules de bouchots. Les bouchots, ce sont des grands pieux en bois qui sont plantés dans la mer et qui sont recouverts de moules. C'est une technique différente qui a été mise au point par un naufragé irlandais en 1235. Un certain Patrick Walton fait naufrage en Vendée. Pour survivre, il place des piquets de bois plantés dans la mer. L’idée étant de tendre des filets pour attraper des oiseaux. Il n’a pas attrapé d’oiseaux, mais des milliers de moules qui se sont accrochées au filet ! Pas que ça. Généralement en France, les portions dans l’assiette sont plus petites : 800 grammes pour 1 kilo chez nous. Et puis bien sûr, il y a les frais inhérents au restaurant qui sont différents d’un pays à l’autre. Taxe de 5,5% pour les restaurateurs français, 12% chez nous. Les charges salariales sont aussi plus élevées. Mais attention, malgré tout ça, certains restaurateurs exagèrent : 30€ pour des moules qui ne sont même pas des jumbos, c’est vraiment exagéré ! Car c’est vraiment un plat d’une simplicité extrême. Si on prend des jumbos, on mange plus de chair de moules et on en a pour son argent ? Et bien non ! Jacques Graye, journaliste à la rédaction des Pigeons - a mené l’enquête. Il a décortiqué et pesé deux plats de moules : des petites et des gros calibres. Résultat : vous mangez exactement la même chose ! On a tout intérêt à prendre des petites, car elles coûtent moins cher. En plus, si c’est celles de Zélande, il n’y a pas de différence en goût. Bref, on paie pour l’esthétique. Un truc pour payer moins ? Cuisinez les moules vous-même, parce que c’est hyper facile. Et prenez des " super ", ça vous coûtera 4.99€ pour 1 kilo. Un peu de beurre, du céleri, cuire 5 minutes à couvert. Quand les moules sont ouvertes, il est temps de les manger. Pour 5,6€, vous avez une casserole savoureuse. 0:00 Le prix des moules frites et des croquettes s’envolent en Belgique - On n'est pas des Pigeons ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi On n'est pas des pigeons sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/on-n-est-pas-des-pigeons La page Facebook ► https://www.facebook.com/OnNestPasDesPigeons/ L'émission TV ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=2813 L'émission radio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=8792 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #moules #croquete #ONPP #OnNestPasDesPigeons #RTBF

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4 heures depuis

Comment #planter vos #fraises ? #jardinsetloisirs #rtbf #shorts

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Retrouvez l'intégralité du podcast "L'Heure H" sur RTBF Auvio : https://bit.ly/heureh Attention, l’histoire qui suit est particulièrement violente. Ne prolongez l’écoute ou la lecture uniquement si vous vous sentez capable d’entendre ou de lire des faits et détails particulièrement sombres et déconcertants. Dennis Rader, connu sous le nom de BTK (Bind, Torture, Kill), est l’un des tueurs en série les plus tristement célèbres des États-Unis. Entre 1974 et 1991, il a terrorisé la ville de Wichita, tuant dix personnes, dont des enfants. Rader menait une double vie, apparaissant comme un père de famille et un membre actif de sa communauté, tout en planifiant méthodiquement ses meurtres. Il ligotait, torturait, et tuait ses victimes, souvent après les avoir observées pendant des jours. Ce besoin de contrôle et de domination était au cœur de ses crimes. Il narguait la police avec des lettres signées "BTK", alimentant la terreur pendant des décennies. Pour tenter de comprendre l’impensable, et ainsi comprendre les massacres perpétrés par Dennis Rader, il nous faut remonter à l’aube de son existence. Né en 1945 au Kansas, il est le fruit d’une union d’amour, aîné d’une fratrie composée de 4 garçons. Ayant vu le jour à Pittsburgh, c’est dans la ville de Wichita, immense mégapole de l’État, que le foyer familial se construit sereinement. Sa mère est comptable d’un petit commerce et son père travaille comme employé dans une centrale électrique après une carrière militaire exemplaire. C’est dans ce cadre serein que grandissent les frères Rader. Mais dès ses premières années de vie, Dennis se détache de ses frangins. Et pour cause : il torture les animaux, en particulier les chats, qu’il violente et qu’il tue de la pire des manières. Il n’a alors que 5 ou 6 ans. S’en prendre aux animaux est alors pour lui une solution de facilité pour calmer ses ardeurs et ses pulsions, qui déjà, le poussent à commettre l’irréparable. Les prémices de son parcours criminel se font déjà sentir. C’est cela, la première et terrifiante constatation autour du cas de BTK. Dennis Rader a grandi dans un foyer aimant, classique, " normal ". Naît-on tueur ou le devient-on ? BTK, assurément, a de quoi faire douter celles et ceux qui s’avancent avec les plus solides certitudes. Ces tortures animales ne sont pas les seuls pans particuliers de sa personnalité en construction. Il avoue lui-même avoir été très tôt excité par les sous-vêtements féminins, et ce, dès l’adolescence. D’ailleurs, c’est à cette période qu’il s’isole véritablement des autres personnes de son âge, qu’il s’enfonce dans une personnalité asociale qu’il conservera tout au long de son existence. Diplômé du lycée en 1963, et poussé par un héritage familial incarné par la figure de son père, Dennis intègre l’Air Force en qualité d’électromécanicien. En 1971, Rader épouse Paula, de 3 ans sa cadette, à l’Église luthérienne. Car oui, Dennis Rader est un fervent croyant, pratiquant et assidu. Il devient même plus tard chef de sa congrégation ou bien encore directeur d’une organisation de scoutisme. Au sein de la communauté, Dennis Rader est apprécié. Poli, affable, en retrait, rien ne laisse présager ce qu’il subit en son for intérieur. La catastrophe est pourtant bel et bien en marche. D’un point de vue professionnel, et face aux manque d’opportunités auxquelles il fait face, Rader devient technicien de systèmes de sécurité pour particuliers. C’est ainsi qu’à Wichita et dans les villes environnantes, il rentre dans les domiciles avec l’objectif de les rendre moins vulnérables. Cette confrontation face à une population inquiète semble " l’activer ". Dennis Rader, pour autant, n’est pas rassasié. Il lui manque cette dose de pouvoir qu’il ne trouve que lors de ses meurtres et de ses agressions. Dennis Rader, déjà, est le monstre que tout Wichita recherche. Ses pulsions, à intervalles réguliers, le poussent à commettre l’irréparable. La famille Otero marquera le funeste commencement d’une longue série d’atrocités… 0:00 Dennis Rader aka BTK : la soif de pouvoir - Dans la tête du tueur (2/10) ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez La Première Sur Auvio ► https://auvio.rtbf.be/chaine/la-premiere-6 Sur le site RTBF ► https://www.rtbf.be/lapremiere Sur Facebook ► https://www.facebook.com/LaPremiereRTBF ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #monster #newyork #murdermystery #podcast #belgium #lapremierertbf #rtbf 3259414

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Rencontrez les #animaux #insolite de #pairidaiza #rtbf #shorts #lesambassadeurs #ambassadeurs

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Mais qu’est-ce qu’une sauveteuse en mer ? Quelles sont les formations pour accéder au métier ? Dans cette émission, je vous emmène à la découverte d’un métier fascinant, en pleine nature, avec tout l’équipement nécessaire pour affronter les vagues. Les sauveteurs et sauveteuses en mer assurent la sécurité des plages, des zones de baignade et des espaces nautiques. Ils/elles sont formé(e) s pour intervenir rapidement en cas de noyade, d’accident nautique ou d’incidents sur les plages. Leur rôle ne se limite pas à surveiller les baigneurs, ils participent également à des missions de prévention et de sensibilisation auprès du public. Le WOBRA est la seule formation de sauvetage en mer en Belgique. C’est la seule formation qui existe en Belgique pour devenir sauveteur.euse en mer. Donnée en néerlandais, elle est conçue pour répondre aux exigences spécifiques des plages et des zones côtières en Belgique, où les conditions de sauvetage peuvent être très différentes de celles d’une piscine ou d’un plan d’eau calme. L’objectif est de former des sauveteurs capables d’intervenir rapidement et efficacement dans des situations d’urgence en milieu aquatique, en particulier sur les plages de la côte belge. Les sauveteurs formés par le WOBRA sont habilités à travailler en tant que sauveteurs côtiers pendant la saison estivale, dans les zones surveillées le long du littoral. La L.F.B.S propose des formations en secourisme et sauvetage, et cherche à rendre les gestes de secours accessibles à tous, notamment dans les écoles. Elle s’engage également activement dans la prévention des noyades, en devenant un référent belge et européen dans l’analyse des risques liés aux milieux aquatiques. Sa formation se fait en plusieurs modules allant des techniques de secourisme au certificat de sauvetage en piscine. Un nouveau brevet va voir le jour et permettra de pratiquer le sauvetage dans les eaux intérieures comme les lacs et bassins de Wallonie. Il est également possible de compléter sa formation par le boat rescue, maîtrise de bateau de sauvetage. Ysaline est sauveteuse en mer. Hyper-réactivité, sang-froid, excellente condition physique, sens ultra aiguisés ... voilà quelques-unes des qualités requises pour exercer ce métier hors du commun. Notre journaliste "aventureuse" Hélène, se met encore une fois au défi de vivre une journée dans la peau d'une femme d'exception. Sous un ciel couvert et une mer à 17°, elle devra puiser dans ses ressources pour mener à bien cette expérience unique. 0:00 Je découvre le métier de sauveteuse en mer | Les Aventureuses ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Les Aventureuses sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/archive/les-aventureuses Facebook ► https://www.facebook.com/RTBF Auvio ► https://auvio.rtbf.be/emission/les-aventureuses-28230 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF 2024 #mer #safety #job #interview #lesaventureuses #rtbf

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2 journées depuis

Retrouvez l'intégralité du podcast "L'Heure H" sur RTBF Auvio : https://bit.ly/heureh Par une nuit froide d’hiver, dans la province du Luxembourg. À Beho, dans un calme plat, le curé du village, comme tous les habitants de sa paroisse, dort paisiblement. Dans le presbytère, à l’écart de la grande et imposante église Saint-Pierre, la symphonie du silence règne en maîtresse absolue et incontestée. Subitement tiré de son sommeil, le curé, alerté par un bruit suspect, se redresse dans son couchage. Les cloches sont en train de sonner. Nous sommes le 15 février 1954, le vent s’infiltre et fait claquer les volets mal fermés de Beho. Des cloches d’église qui sonnent toutes seules dans la torpeur de la nuit, personne n’a encore jamais vu ça. Le curé, dans la précipitation se rhabille et se précipite dans la cour extérieure. Ce qu’il découvre le terrifie de la manière la plus primaire possible. Un incendie s’est déclaré. Et les cloches, comme pour prévenir, tintent. De plus en plus vite, de moins en moins ordonné. La plus grosse des cloches de l’église Saint-Pierre de Beho est une immense relique du Moyen-Age qu’on appelle la Maria. Le son qu’elle produit est si caractéristique que de nombreux spécialistes se rendent dans ce village pour la voir et l’étudier. Mais depuis longtemps déjà, la Maria ne sonne plus qu’à de très rares occasions. Ce soir, le son qu’elle émet retenti dans le village. Le curé, sans prévenir personne, s’est saisi d’un seau et porté par un courage absolument ahurissant, ouvre en grand les portes de bois qui donnent sur le brasier. Mais il est le seul qui se risque à pénétrer dans l’arène. L’église de Beho rayonne d’une aura magique. Et dangereuse. Cette aura terrifiante n’est pas nouvelle. L’histoire mystérieuse de l’église de Beho débute 8 siècles plus tôt. Au XIIe siècle, avec un certain Hermann II de Salm. Il est le membre d’une famille du Moyen-Age très puissante et originaire des terres luxembourgeoises. A l’époque, Baudouin Ier vient d’être couronné premier roi de Jérusalem, et lui, Hermann, se dirige vers ses propriétés les bagages chargés de reliques. Le village de Beho, lui, se voit dorénavant doté d’un statut des plus particuliers : celui des saints. C’est aussi au XIIe siècle que débute la construction de la tour immense de l’église du village. Carrée, elle est orientée légèrement vers le sud afin de contrer les coups du climat et toise à plus de 26 mètres. Dès sa construction, une aura bizarre, presque maléfique, entoure l’édifice et les reliques qu’elle abrite. Pourquoi ? Les décors entourant la fameuse tour portent à questionnements… Des cloches sont bien entendu installées au sommet de la tour surplombant la région. Mais l’une d’entre elles, plus petite que les autres, se dote d’une utilité des plus particulières. Certains diront magique. On la faisait sonner les nuits d’orage pour repousser le mauvais œil. Plus bizarre encore, au milieu de la tour, une magnifique loggia se détache du mur et est soutenue par de grands et ouvragés supports de pierre. Le problème, c’est qu’ils représentent des visages grimaçants et terrifiants, qui rappellent des sorcières. Comme si la visite et le don d’Hermann II avaient fait entrer dans la vie du village de Beho de terrifiants spectres mangeurs d’enfants et blasphémateurs. Mais alors, pourquoi ce petit bourg, plus qu’un autre, en serait-il la victime ? Est-ce dû à l’arrivée de ces fameuses reliques ? Quoi qu’il en soit, l’histoire de ces objets émanant des saints les plus importants du catholicisme n’ont pas fini de faire parler. Et l’église de Beho, elle, traverse les âges avec fracas. Découvrez le récit complet de l’église de Beho et ces mystérieuses reliques dans l’Heure H ci-dessus. 0:00 L’église de Beho et ses reliques maudites - L'Heure H ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez La Première Sur Auvio ► https://auvio.rtbf.be/chaine/la-premiere-6 Sur le site RTBF ► https://www.rtbf.be/lapremiere Sur Facebook ► https://www.facebook.com/LaPremiereRTBF ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #beho #church #histoire #podcast #belgium #lapremierertbf #rtbf 3133727

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3 journées depuis

Pouvoir d’achat en berne, crise énergétique, indexation des salaires, changement des habitudes de consommation, l’Horeca traverse une crise et si le travail au noir apparaît comme une solution pour réduire les charges, il n’est pas sans risque. Des professionnels de l’Horeca nous ont confié leurs pratiques a priori inavouables. Pourquoi et comment ces patrons de restaurants font-ils du noir ? Deux d’entre eux brisent la loi du silence. "C’est soit ça passe ou ça casse ! On n’a pas le choix !" s’exprime Léo (prénom d’emprunt), patron d’un établissement Horeca. "On doit sauver notre peau !", poursuit Léo. Même son de cloche chez Roberto Insalaco, patron d’un restaurant à Mons : "C’est mathématiquement impossible de faire tout en blanc (ndlr : en déclaré) !" Roberto a vécu un évènement qu’il n’est pas près d’oublier. Il y a quelques semaines, une équipe de contrôleurs a débarqué sans crier gare dans son restaurant. "C’était complet. Il y avait une dizaine de personnes à l’extérieur, Police y comprise. Donc, mise des scellés, donc, là, forcément, je me pose des questions. Pourquoi ? Forcément ici, j’ai des palmiers. Très joli ! Mais ce ne sont pas des plantations de cannabis. Il n’y a pas de truands, ici… Emotionnellement, c’est une agression !" témoigne Roberto Insalaco. Aux contrôleurs, Roberto refuse de donner les noms de ses travailleurs non déclarés qui ont pris la fuite. Pour justifier ce travail au noir, Roberto nous sort sa feuille d’impôts. "Je vais payer 124.000 euros pour l’année passée", s’exclame-t-il en nous pointant le montant à rembourser sur sa feuille d’impôt. Le second patron de restaurant que nous rencontrons n’aurait d’autre choix, lui non plus, de faire du noir. Il n’a pas encore été pris en flagrant délit d’infraction, contrairement à Roberto. Il préfère donc lui, pour des raisons évidentes, témoigner à visage caché. Nous le prénommerons Léo. Il nous parle de la nécessité de ne pas tout déclarer : "C’est obligatoire ! On est taxé sur les bénéfices. On a la TVA à payer en plus. On a les accises à payer. Donc, tout cela fait un chiffre qui nous dépasse tous. Si je déclare tout aujourd’hui, je n’ai pas un franc dans mon pantalon !" Par ailleurs, la main-d’œuvre se fait rare. Les travailleurs, très demandés, seraient de plus en plus exigeants. "Il y a des gens qui se présentent chez vous avec leurs conditions. Et nous indépendants, on n’a pas d’autre choix. Et c’est un handicap. Par ce que pour un 'Oui' ou pour un 'Non', 'Ciao ! Arrivederci !' Et on a besoin de main d‘œuvre. Quand je dois payer des contributions comme ça. Il faut travailler, il faut boulotter", explique Roberto. Quel pourcentage d’établissements aurait recours au travail non déclaré ? Leur demandons-nous alors. "100%. Il n’y en a pas un qui ne fait pas du black !", assure Léo. "C’est tout le secteur Horeca", confirme également Roberto. Les restaurateurs, les cafetiers seraient-ils, en effet, devenus tous des hors-la-loi ? Nous avons rencontré Jona Ceuppens, le directeur général du service d’inspection de l’ONSS (Office National de Sécurité Sociale). "Non, je n’y crois pas. Il y a des établissements qui sont contrôlés à plusieurs reprises et on n’y constate pas d’infraction." nous assure-t-il. En déclaré, un travailleur coûte environ 40 euros de l’heure contre 12 euros en non déclaré. L’avantage du noir est évident. Il est d’autant plus tentant en période de crise. "J’ai des collègues cet hiver qui m’ont dit texto : 'On ne s’est pas versé de salaire pendant tout l’hiver.'", nous rapporte Léo. "Je ne sais pas si dans six mois, je serai encore là, dans un an, je ne sais pas", conclu Roberto. Chaque jour, en moyenne, en Belgique, six établissements Horeca font faillite. 0:00 Deux patrons de restaurant nous révèlent tout sur leur travail au noir - On n'est pas des Pigeons ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi On n'est pas des pigeons sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/on-n-est-pas-des-pigeons La page Facebook ► https://www.facebook.com/OnNestPasDesPigeons/ L'émission TV ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=2813 L'émission radio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=8792 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #horeca #restaurant #ONPP #OnNestPasDesPigeons #RTBF

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Patrick Weber est à Orval, dans les ruines de l'abbaye cistercienne. Un lieu de mémoire, d'histoire mais aussi de spiritualité. Tout commence par une belle histoire qui coule ici comme l'eau d'une rivière. Le nom de l'abbaye Orval ou Val d'Or et son blason qui représente une scène de légende 0:00 L'Abbaye d'Orval : mystérieuse et surprenante - J'ai les clés S03E07 ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi "J'ai les clés" sur : Le site RTBF TV ► https://www.rtbf.be/archive/j-ai-les-cles Auvio ► https://auvio.rtbf.be/emission/j-ai-les-cles-18581 ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #orval #biere #histoire #jailescles #patrickweber #rtbf

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Au cœur de Bruxelles, Maeva Lardin redéfinit la mode durable. Spécialisée dans la teinture à partir de plantes et de déchets alimentaires, comme les pelures d’avocat, elle offre une seconde vie à de vieux tissus et vêtements, alliant créativité et respect de l’environnement. Rencontre avec cette artiste proposant une oeuvre qui allie esthétique et éthique, à travers ses teintures et son travail de sérigraphie. Maeva Lardin vit à Bruxelles mais elle a grandi à la campagne d’où son attrait pour le floral et le végétal. De son enfance, elle a gardé le goût des balades dans la nature, dans les jardins en Belgique et à l’étranger, qu’elle photographie énormément. Son inclinaison pour le végétal, les fibres textiles, le travail de la main et plus globalement l’artisanat lui ont fait naturellement opter pour des études en design textile, le travail de la couleur et de la matière. Maeva s’illustre par son utilisation astucieuse de la nature pour créer des teintures. En exploitant les propriétés colorantes des plantes et des restes alimentaires, elle propose une alternative éthique aux teintures synthétiques. Les pelures d’avocat, d’oignon par exemple, ne sont pas seulement un déchet : elles deviennent une source de couleurs, tout en évitant le gaspillage. Son processus de teinture est minutieux. Chaque lot est une exploration des nuances que la nature peut offrir. En utilisant des méthodes artisanales ancestrales, Maeva crée des couleurs uniques, révélant la beauté intrinsèque des tissus souvent chinés. Cette approche met en avant la richesse des ressources naturelles et encourage une réflexion sur notre consommation textile. En plus de la création chromatique, Maeva a d’autres talents comme la couture et le dessin. Elle s’adonne également à l’impression sérigraphique, ajoutant une dimension artistique à ses œuvres. Les tissus teintés deviennent des toiles pour ses dessins, où des motifs végétaux et contemporains se rencontrent. Cette fusion de techniques donne naissance à des pièces uniques. En intégrant des éléments visuels qui évoquent la nature et l’environnement, elle cherche à sensibiliser son public aux enjeux du recyclage et de la durabilité. 0:00 Teinture végétale écoresponsable : la passion de Maeva Lardin | Jardins et Loisirs ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Jardins & Loisirs sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/jardins-et-loisirs Facebook ► https://www.facebook.com/JardinsEtLoisirs/ Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_jardins-loisirs?id=20 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #colors #teinture #écoresponsable #portrait #JardinsetLoisirs #rtbf

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Le #thon en boite contient du #mercure ? #rtbf #MAJ #MAJRTBF #shorts

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François Mazure est appelé sur un accident spectaculaire. Une voiture a chuté d’une falaise sur plusieurs mètres. À bord de l'hélicoptère de la garde aérienne suisse de sauvetage, la REGA, il a pu être le témoin de cette opération de sauvetage dirigée par de grands professionnels... François Mazure découvre les sauveteurs de l'extrême en Suisse pour les amateurs d'Un Monde à part. 0:00 REGA : les sauveteurs de l'extrême sont en Suisse - Un Monde à part ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Un Monde à part sur : Le site RTBF TV ► https://www.rtbf.be/emission/un-monde-a-part Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_un-monde-a-part?id=19466 Facebook ► https://www.facebook.com/UNMONDEAPARTRTBF Instagram ???? https://www.instagram.com/unmondeapart_rtbf/ ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #suisse #rega #sauvetage #unmondeapart #documentary #reportage #rtbf

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Je découvre le #métier d'arboriste grimpeuse #lesaventureuses #rtbf #immersion #shorts

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Le GIEC, c'est LE groupe d'experts sur lequel le monde entier se base afin d'anticiper les futurs climatiques possibles. Mais... est-on certain que le GIEC soit vraiment fiable ? En d'autres termes : comment sont choisis les scientifiques qui le composent ? À quel point doivent-ils rendre des comptes aux différents gouvernements ? Et leurs conclusions ne sont-elles pas un peu catastrophistes ? Analyse en compagnie du scientifique belge François Gemenne. 0:00 Peut-on croire les scientifiques du GIEC ? - Y a Pas de Planète B ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Pour aller + loin : - Un livre super du journaliste Sylvestre Huet intitulé "GIEC : urgence climat - Le rapport incontestable expliqué à tous". Il y détaille en profondeur l'histoire et le fonctionnement du GIEC, et ce livre nous a notamment permis de préparer cet épisode : https://www.tallandier.com/livre/le-giec-urgence-climat/ ; - Le site de la Plateforme wallonne pour le GIEC, une plateforme créée par le gouvernement wallon pour faciliter la compréhension des enjeux et la mise en place de solutions aux changements climatiques : https://www.plateforme-wallonne-giec.be/actualites/ ; - Le site officiel du GIEC, où l'on retrouver tous les rapports et leurs résumés : https://www.ipcc.ch/ ; - Et une petite trouvaille : le "Chat GPT du climat", une intelligence artificielle nourrie sur base des rapports du GIEC et de l'IPBES (l'équivalent du GIEC pour la biodiversité), et qui permet de répondre à toutes les questions que l'on peut se poser sur le rapport, tout en nous indiquant les pages précises qui y sont liées : https://climateqa.com/ Et pour toute question ou information complémentaire, n’hésitez pas à nous écrire à l’adresse : yapasdeplaneteb@rtbf.be On vous y répondra avec plaisir ! ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez Y a Pas de Planète B Sur Auvio ► https://auvio.rtbf.be/emission/y-a-pas-de-planete-b-23824 Sur le site RTBF.be ► https://www.rtbf.be/ Sur Facebook ► https://www.facebook.com/yapasdeplaneteb ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #giec #climat #solution #yapasdeplanèteb #RTBF

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Mitrailleuses, fusils d'assaut, bus en feu... Bienvenue à l'OFASTS #investigation #rtbf #shorts

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Les produits et les conditions de travail dans des ongleries asiatiques sont réputés douteux. Et ce ne serait rien, comparé à des pratiques encore plus choquantes : trafic d’êtres humains et exploitation économique. A Bruxelles, les ongleries asiatiques qui s'installent sont de plus en plus nombreuses. Une des raisons de leur succès : des tout petits prix. Ce qui pose question, ce sont les travailleurs, au noir ou en situation illégale, qui travaillent dans ces ongleries. "C’est le nouvel esclavage moderne." résume pour nous Sophie Jekeler, présidente de la fondation Samilia, qui lutte contre toutes les formes de traites d’êtres humains. Derrière le vernis de ces bars à ongles, la réalité ne serait en effet pas toujours belle à voir. En plein cœur de la capitale européenne, Bruxelles, des ongleries asiatiques se sont installées côte à côte par dizaines. Elles investissent maintenant aussi d’autres villes du royaume, comme Namur ou Liège. La raison de leur succès : des prix cassés. L’emploi de travailleurs non déclarés et en situation illégale expliquerait ces tarifs bon marché, comme nous l’explique Bruno Devillé, inspecteur à l’ONSS, l’Office national de sécurité sociale, attaché à ce dossier "des ongleries asiatiques" depuis sept ans : "Ce dont on est certains, maintenant, c’est que ces personnes-là sont des migrants mais déjà qui migrent dans le cadre d’un trafic organisé par des bandes criminelles. Il faut savoir que dans les 39 morts d’Essex, 39 migrants retrouvés morts dans un camion, quelqu’un était passé par ces ongleries, ça, on en a la preuve." Une fondation de lutte contre la traite des êtres humains, la fondation Samilia, parle d’esclavage moderne. Elle a même fait de cette question une campagne pour sensibiliser les consommateurs belges, intitulée "Sous le vernis, l’exploitation humaine." Nous nous sommes rendus dans la Galerie du Centre à Bruxelles, sans doute l’endroit qui concentre le plus d’ongleries en Belgique. Une trentaine s’y est installée. Une dame, d’origine vietnamienne, nous reçoit dans l’une des trois ongleries qu’elle gère. Elle accepte de répondre à nos questions et surtout aux critiques émises contre leur secteur. Elle nous le certifie. Chez elle, tout serait légal. Elle nous sort une farde remplie de document : "Contrat de travail du personnel même les cartes d’identité, tout est là." nous détaille Thi Lan Nguyen, gérante de trois ongleries à Bruxelles. L’autre point noir de ces ongleries, ce seraient les conditions de travail. Dans une autre boutique, notre stagiaire Louane Duray, accompagnée d’une amie va en faire la malheureuse expérience. Alors que son amie se fait faire une manucure, Louane qui filme discrètement ressent subitement une gêne au milieu des odeurs fortes de solvant : "L’odeur, elle me pique un petit peu les yeux." s’exprime-t-elle alors. Les produits utilisés ne seraient pas toujours conformes. L’hygiène et l’aération des locaux laisseraient également à désirer. A leur sortie de l’onglerie, Louane et son amie témoignent : "L’odeur est tellement forte que ça prend la tête quoi. On a l’impression que l’on va s’évanouir tellement c’est fort et puissant." nous rapporte Louane. Aurait-elle été victime de vapeurs toxiques ? Le lendemain, son ophtalmologue lui a diagnostiqué une conjonctivite. L’amie, elle, n’est pas très satisfaite de sa manucure : "Les côtés, ce n’est pas droit et ils utilisent de la colle forte contre la peau et ça fait très mal." Bref, ces ongleries sont deux fois moins chères qu’ailleurs, mais à quel prix pour votre santé et la vie de ces travailleurs ? Des enquêtes sociales, de Santé Publique et judiciaires sont en cours. 0:00 L'exploitation humaine derrière les vitrines de bars à ongles - On n'est pas des Pigeons ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi On n'est pas des pigeons sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/on-n-est-pas-des-pigeons La page Facebook ► https://www.facebook.com/OnNestPasDesPigeons/ L'émission TV ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=2813 L'émission radio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=8792 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #nails #bar #exploitation #ONPP #OnNestPasDesPigeons #RTBF

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Retrouvez l'intégralité du podcast "L'Heure H" sur RTBF Auvio : https://bit.ly/heureh Attention, l’histoire qui suit est particulièrement violente. Ne prolongez l’écoute ou la lecture uniquement si vous vous sentez capable d’entendre ou de lire des faits et détails particulièrement sombres et déconcertants. 3 heures du matin. New York est en train de dormir. Depuis plusieurs mois, la Grosse Pomme, et plus particulièrement le Queens, est en proie à de terribles événements. Un homme, que personne n’a encore réussi à voir, surgit sans prévenir, se dirige vers des voitures qui semblent être choisies au hasard et tire sur les occupants. Sans raison apparente. À la fin des années 70, une série de meurtres brutaux plonge la ville américaine dans l’horreur. David Berkowitz, plus connu sous le nom de Fils de Sam a tué six personnes et en a blessé sept autres entre 1976 et 1977. Ses victimes sont principalement des jeunes femmes brunes dans des voitures. Animé par des voix qu’il croyait être des ordres de Satan, Berkowitz a laissé des lettres dérangées aux enquêteurs, se désignant comme "Mr Monster"… Nous sommes le 17 avril 1977. Aujourd’hui, Valentina Suriani et Alexandre Esaü vont mourir. Les deux forment un de ces jeunes couples sur lequel la vie ne semble avoir aucune prise. Lui est conducteur de dépanneuse, elle, mannequin promise à un bel avenir. Ils vont se fiancer, le vent les pousse dans le dos. Ces jeunes ont la vie pour eux, et pourtant, voilà qu’elle s’apprête déjà à les quitter… À l’abri dans leur voiture, les deux tourtereaux discutent de leurs projets de vie. Malheureusement, alors qu’elle commence à peine, leur idylle s’apprête à se terminer. Dans les larmes, et dans le sang. Tout près d’eux, cachée à l’orée d’un petit parc jouxtant leur position, une ombre s’avance. D’un sac en papier, un homme sort un calibre 44. Il arme le chien. Appuie le canon contre la vitre de la voiture. Assise sur le siège du passager, la jeune femme est en train de rire lorsque le coup de feu éclate. Une balle lui traverse la tête et la tue sur le coup. Elle s’effondre sur le levier de vitesse du véhicule. Alexandre tente de sortir de l’habitacle, hurle son désarroi mais 2 balles viennent rapidement se loger dans son crâne. Il agonise sur le tableau de bord. La scène s’est déroulée en quelques secondes seulement. La main armée de la mort, incognito, vient de regagner l’obscurité du parc. Cependant, et c’est inédit, le tueur a déposé sur le corps de la jeune mannequin une lettre. Elle est signée de son nom : Mr Monster, monsieur monstre. Jack et Paul sont coéquipiers dans les forces de police de la ville depuis des années. Ce soir du 17 avril, ils sont de garde et circulent au hasard le long des routes de leur secteur en attendant un éventuel appel… et le voilà. A la radio, on leur annonce que 4 coups de feu ont été signalés à 5 minutes de leur position. Les deux gaillards se rendent sur les lieux sans tarder. En arrivant, ils découvrent une scène indescriptible. Fébrilement, armes à la main, ils s’approchent de la voiture, comme effrayés à l’idée de voir un monstre en sortir. Alexandre n’est pas mort, et une ambulance est dépêchée sur place. Hélas, la vie le quitte. L’équipe prévient également ses supérieurs de la découverte de la lettre. La lettre est bourrée de fautes d’orthographe, tout cela ne semble rien vouloir dire. Il n’y a qu’une chose, au fond, qui semble limpide pour les membres des forces de l’ordre arrivés les premiers sur la scène : ce gars-là est imprévisible. Totalement malade. Ce que les policiers ignorent à ce stade, c’est que le Fils de Sam n’est pas à son coup d’essai. Loin de là, même. 0:00 David Berkowitz : Mr. Monster à New-York - Dans la tête du tueur (1/10) ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez La Première Sur Auvio ► https://auvio.rtbf.be/chaine/la-premiere-6 Sur le site RTBF ► https://www.rtbf.be/lapremiere Sur Facebook ► https://www.facebook.com/LaPremiereRTBF ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #monster #newyork #murdermystery #podcast #belgium #lapremierertbf #rtbf 3259413

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Nathalie Guirma vous emmène à la découverte des plus beaux villages de Jodoigne. Cette année, le Réseau des Plus Beaux Villages de Wallonie souffle ses 30 bougies ! Les Ambassadeurs s'installent à Jodoigne, où Saint-Remy-Geest et Mélin ont tous deux reçu le label. Le paysage rural, les traditions, les saveurs locales, la convivialité, la participation citoyenne sont autant d'arguments pour être reconnu PBVW. Le patrimoine bâti de ces villages particulièrement lumineux attire le regard, il est en grande partie édifié en pierre locale, la fameuse pierre de Gobertange. Nathalie Guirma, en visite aux ateliers Bernard, tailleurs de pierre de père en fils, admire le travail de ces artisans. Au printemps, les visiteurs munis d'un plan, s'en vont à pied ou à vélo parcourir les rues et les jardins du village de Mélin. Au fil du parcours, la diversité des atmosphères est étonnante avec des espaces à l'anglaise, des potagers, vergers, espaces aquatiques, roseraies, sans oublier les cours fleuries des fermes. 0:00 Les plus beaux villages de Jodoigne - Les Ambassadeurs ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Les Ambassadeurs sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/les-ambassadeurs Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_les-ambassadeurs?id=8802 Facebook ► https://www.facebook.com/lesambassadeursRTBF/ ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF 2024 #village #jodoigne #belgium #reportage #lesambassadeurs #rtbf

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Mais qu’est-ce qu’un Arboriste/ Grimpeur/ élagueur ? Où peut-on suivre une formation et à qui s’adresse-t-elle ? Dans cette émission, je vous emmène à la découverte d’un métier fascinant, en pleine nature, avec tout l'équipement nécessaire pour grimper dans les arbres et les entretenir en toute sécurité. Pour cette aventure, j’ai dû me préparer minutieusement : entre matériel technique et connaissances indispensables, mon sac à dos était bien rempli pour affronter une journée à la cime des arbres. Et en chemin, j’ai découvert quelques astuces et bons plans que je partage avec vous, afin que vous puissiez, vous aussi, explorer ce métier passionnant. L’arboriste grimpeur-élagueur/grimpeuse-élagueuse est un-e professionnel-le qui grimpe dans les arbres pour les soigner et les entretenir. Il/Elle joue souvent un rôle essentiel dans la gestion durable des espaces verts. Leur travail ne se limite pas uniquement à la taille des arbres dangereux ou malades, mais inclut aussi des missions de préservation de l’écosystème arboré comme poser un diagnostic, tenir compte du milieu environnant, évaluer les risques sanitaires et mécaniques. Le maraîchage biologique est une forme d’agriculture qui se concentre sur la production de fruits, légumes et autres produits végétaux, tout en respectant des principes stricts de durabilité et de respect de l’environnement. Cela signifie qu’il ne fait pas usage de produits chimiques de synthèse comme les pesticides, herbicides ou engrais artificiels, et qu’il vise à préserver la fertilité des sols, la biodiversité, et l’équilibre des écosystèmes naturels. Marlis est arboriste élagueuse grimpeuse ! Jeune maman originaire du Chili formée en agronomie, Marlis a décidé il y a 7 ans de changer de métier. Passionnée de nature et d’aventure, elle travaille quotidiennement à plus de 20m de haut scie et tronçonneuse à la main. À ses côtés pour la journée notre journaliste "aventureuse" Hélène, se met au défi de tester le métier. Un épisode loin d’être de tout repos sous une météo orageuse qui compliquera peut-être un peu les choses ! 0:00 Je découvre le métier d'arboriste grimpeuse | Les Aventureuses ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Les Aventureuses sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/archive/les-aventureuses Facebook ► https://www.facebook.com/RTBF Auvio ► https://auvio.rtbf.be/emission/les-aventureuses-28230 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF 2024 #arborist #job #interview #lesaventureuses #rtbf

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Matière Grise se penche cette semaine sur la science et la fiction, deux mondes totalement opposés qui se complètent pourtant plus qu'on pourrait le croire. Si on vous dit Interstellar, Matrix et beaucoup d’autres : en fait de nombreux classiques du cinéma d’anticipation ont été réalisés avec des scientifiques qui ont aidé à rendre plausibles des environnements futuristes. Mais si le cinéma s’inspire régulièrement de recherches existantes, l’inverse est aussi vrai parfois ! Certains chercheurs ne dédaignent pas la science-fiction, bien au contraire. Le flux d’inspiration est réciproque. Dès lors y a-t-il de véritables recherches menées sur des phénomènes improbables ? Comme l’invisibilité par exemple ? Eh bien oui… Réponse avec Matière Grise. 0:00 Science ou fiction : le cinéma et la science s'inspirent mutuellement - Matière Grise ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez Matière Grise sur tous nos réseaux : Facebook : https://www.facebook.com/MatiereGriseRTBF/ Site web : https://www.rtbf.be/emission/matiere-grise Auvio : https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_matiere-grise?id=65 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #science #fiction #cinema #thesis #documentary #RTBF #MatièreGrise




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