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Je retrouve ma famille d'accueil à #cuba 17 ans plus tard #rtbf #shorts #unmondeapart
Retrouvez l'intégralité du podcast "L'Heure H" sur RTBF Auvio : https://bit.ly/heureh Le 1er mars 1924, Émile Fradin et son grand-père défrichent une petite zone boisée au fond des champs d'un petit hameau perdu au milieu de l'Auvergne. Alors que les deux hommes se démènent pour faire avancer leur charrette et les bœufs, l'un des animaux s’effondre. Son pied s’enfonce dans le sol. En le libérant, le jeune Émile fait la découverte du siècle. Là où le boeuf s’est effondré, on aperçoit un trou. Au beau milieu des champs, dans le hameau de Glozel, dans ce patelin perdu au fin fond de l’Auvergne, le garçon de 17 ans observe une fosse faite de briques, qui s'apparente à une sépulture très ancienne. Au fond, il trouve des outils en pierre, des os, des fragments en céramique. Peut-être même des objets préhistoriques… Le jeune paysan ne le sait pas encore, mais cette trouvaille fera beaucoup de bruit. Car elle pourrait bien être l’une des plus grandes découvertes archéologiques de l’Histoire. Mais cette affaire va prendre une ampleur inespérée. Polémique, assassinat, procès : la vie du jeune Émile va basculer. Rapidement, la sépulture attire l'attention d'archéologues amateurs. L'un d'entre eux se rend sur place : il est époustouflé par la découverte. Pour lui, ce qui s’apparente à une tombe semble plutôt être un petit four antique, datant de la période gallo-romaine… Pendant un an, au fond de cette petite vallée verte, au sud de Vichy, des fouilles sont réalisées régulièrement. Autour et dans le four, on découvre des haches, des vases, des vieilles briques et de nombreux ossements. Mais après des mois de recherches, et de l'argent dépensé, ce petit four gallo-romain n'intéresse plus… au grand désarroi du jeune Émile. Pourtant, ce dernier n’en démord pas. Il est certain d'être face à un trésor, et il veut le prouver. L’adolescent se transforme en archéologue du dimanche, et se met lui aussi à réaliser des fouilles. C’est alors qu’il fait la rencontre d’un homme, un archéologue amateur, qui va chambouler son destin. Cet archéologue, c’est le Docteur Antonin Morlet. Ce docteur Morlet est plutôt habitué aux fouilles gallo-romaines. En observant les trouvailles du jeune Émile, il en est certain et il l’affirme : ces objets pourraient être vieux de 8.000 ou 15.000 ans. En 1925, alors que les deux hommes creusent, ils tombent sur des objets absolument incroyables : au vu de la technique, le Docteur Morlet estime qu’elles pourraient dater de 6.000 à 8.000 ans avant Jésus-Christ. Or, sur ces tablettes, on peut lire des inscriptions : des symboles, des croix, des cercles, des traits. Des insignes qui font penser à un texte indéchiffrable, un alphabet inconnu qui va bouleverser le monde scientifique. Car si ce petit bout d'argile date bien de 6.000 ans avant Jésus-Christ, alors il remet en question la conception que l’on a de l’apparition de l’alphabet. Si le Docteur Morlet dit vrai, alors l’alphabet n’est pas apparu en moins 1.000 au Proche-Orient, mais en moins 6.000 en Auvergne ! Il y aurait eu ici, à Glozel, une civilisation préhistorique. Durant les fouilles, on trouve aussi des sculptures représentant un être bisexué, avec des parties génitales d’hommes et de femmes. Un type de sculpture que l'on n'avait jamais vu auparavant. On dégage aussi énormément d’ossements. A tel point que le site est surnommé : "Le champ des Morts". Dans les colonnes des journaux, les Français observent une bataille entre deux voix, deux pensées. Il y a d’un côté "les Glozéliens", qui estiment que les découvertes faites à Glozel sont vraies. Et celle des "Anti-Glozéliens" qui eux, pensent que toute cette affaire n’est qu’une vaste tromperie. Pendant des semaines, les gens sont captivés par cette histoire. Les visiteurs déferlent en nombre sur les terres de Glozel. Qui dit vrai ? Ces objets sont-ils authentiques ? Datent-ils de la Préhistoire ? Y a-t-il eu une civilisation ancienne, ici, à Glozel ? Faites la lumière sur l'Affaire Glozel dans ce podcast de L'Heure H, entre tromperie et débat houleux qui amèneront jusqu'au meurtre... 0:00 L'affaire Glozel : mystère archéologique remettant en cause l'apparition de l'écriture - L'Heure H ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez La Première Sur Auvio ► https://auvio.rtbf.be/chaine/la-premiere-6 Sur le site RTBF ► https://www.rtbf.be/lapremiere Sur Facebook ► https://www.facebook.com/LaPremiereRTBF ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #mystery #glozel #archeology #histoire #podcast #belgium #lapremierertbf #rtbf 3170543
Chez les étudiants, le mois de mai correspond à la période du blocus, mais aussi à la période où la recherche d’un kot doit être bien avancée. Depuis plusieurs années, le constat est le même : il n’y a pas assez de logements par rapport au nombre d’étudiants. Pire encore : 2023 a vu une augmentation du nombre d’étudiants de 2%. Et avec la loi de l’offre et de la demande, le prix des logements a augmenté. Selon des chiffres récoltés par Stadim, un bureau de conseil en immobilier, et Diggit Studentlife, une organisation qui propose des logements étudiants, il y avait 517.500 étudiants en Belgique lors de l’année académique 2022-2023. Ce qui représente une augmentation de 2% par rapport à l’année précédente. Quant au prix des kots, ils ont augmenté en raison de l’inflation et de la hausse du coût de l’énergie. Il y a trois ans, le loyer moyen était de 400€, sans charge. Aujourd’hui, un étudiant paie en moyenne 470€. Lorsque les charges sont comprises, le loyer grimpe à 565€, un sacré budget. Bruxelles, Gand et Louvain sont les principales villes étudiantes. Dans la capitale, l’ULB compte 40.000 étudiants. Un chiffre qui n’a fait qu’augmenter ces dix dernières années sans que l’offre de logement ne suive la même tendance. Jean-Christophe Goffard, vice-recteur aux affaires étudiantes et sociales de l’ULB, interrogé par Stadim : "Les étudiants ont de plus en plus de mal à trouver un logement. Ils commencent à chercher de plus en plus tôt et dès le mois de mai, une grande partie des kots sont déjà réservés, ce qui complique la recherche". Pour Ans Persoons, secrétaire d’État bruxelloise à l’urbanisme et au patrimoine, des projets de logements étudiants à grande échelle sont nécessaires, mais en maintenant un certain équilibre dans les quartiers. "Je suis tout à fait favorable à des complexes plus grands", explique-t-elle auprès de Stadim. "C’est important pour sauvegarder le marché résidentiel traditionnel pour les familles et le maintenir en équilibre. Cela ne signifie pas qu’il doit toujours s’agir de méga projets de 200 chambres ou plus". D’après Stadim et Diggit Studentlife, le secteur du logement étudiant est prisé par les grands et les petits investisseurs. Un petit investisseur peut être tenté par l’achat d’une chambre étudiant en pensant aux besoins futurs de ses enfants. Les grands investisseurs sont, eux, intéressés par le rendement et les projets se multiplient. Stadim cite, par exemple, le projet Meyboom qui prévoit la construction, en plein centre de Bruxelles, de 230 unités ou encore le projet Ukot à Liège qui prévoit la création de 400 logements et le projet du Passage du Centre à Mons qui en prévoit 300. Selon les calculs de Stadim, les projets de logements étudiants développés en ce moment représentent une valeur d’investissement totale estimée à près d’un demi-milliard d’euros. Ce qui intéresse les investisseurs, c’est donc le rendement. D’après Stadim, ceux-ci sont plus élevés pour les logements étudiants que pour les investissements résidentiels plus traditionnels. Cela s’explique notamment par les contrats de location de courte durée (10 à 12 mois), les modalités de résiliation ou encore la gestion et l’entretien intensifs des bâtiments. Alors avis aux investisseurs… Des logements de qualité dans les villes estudiantines sont importants. Jean-Christophe Goffard, vice-recteur aux affaires étudiantes et sociales de l’ULB, conclut auprès de Stadim et Diggit Studentlife : "Le logement étudiant est aussi, à mon avis, directement lié à la réussite des études. On ne peut donc pas dissocier l’infrastructure de logement de la qualité de l’enseignement". 0:00 Trop d'étudiants pour le nombre de logements : que faire ? - On n'est pas des Pigeons ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi On n'est pas des pigeons sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/on-n-est-pas-des-pigeons La page Facebook ► https://www.facebook.com/OnNestPasDesPigeons/ L'émission TV ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=2813 L'émission radio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=8792 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #etudiant #logement #students #ONPP #OnNestPasDesPigeons #RTBF
Redécouvrez l'interview exclusive et intégrale de François de Brigode réalisée par Joëlle Scoriels en 2015 pour l'émission 69 minutes sans chichis. Un souvenir RTBF inoubliable. 0:00 François de Brigode dans 69 minutes sans chichis ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi 69 minutes sans chichis sur : Le site RTBF ► hhttps://www.rtbf.be/mot-cle/69-minutes-sans-chichis Auvio ► https://auvio.rtbf.be/emission/69-minutes-sans-chichis-5727 Facebook ► https://www.facebook.com/lesambassadeursRTBF/ ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF 2015 #francoisdebrigode #divertissement #rtbf #69minutessanschichis #joellescoriels #emission #interview
L’ipomée ou Volubilis est une magnifique plante ornementale venue des régions tropicales. De la même famille que la patate douce, sa floraison foisonnante s’étend de juillet jusqu’aux premières gelées. Comme elle est fruleuse, ses tubercules ne restent pas en terre durant la saison froide et doivent être stockés dans le noir complet dans une pièce chauffée entre 8 et 15 degrés C. Les ipomées peuvent être utilisées comme plante grimpantes avec un tuteur ou comme retombante dans une jardinière. Voici des conseils pour la culture de cette belle plante exotique. Les ipomées sont principalement originaires des régions tropicales et subtropicales d’Amérique même si on en trouve également dans certaines parties de l’Asie et d’Afrique. Certaines espèces, comme l’Ipomoea batatas (patate douce), sont cultivées pour leurs tubercules comestibles, tandis que d’autres, comme l’Ipomoea purpurea, sont prisées pour leur floraison ornementale. Toutes les ipomées ont une croissance très rapide et couvrent en un rien de temps une pergola, un treillis adossé à un mur ou une jardinière posée sur un appui de fenêtre. Intéressons-nous tout spécialement à l’ipomée batatas, la fameuse patate douce, dont certaines variétés sont ornementales principalement grâce à leur feuillage proposant une multitude de teintes du vert lumineux au pourpre presque noir. Toutes les variétés de patates douces d’ornement appartiennent au genre Ipomea (famille des Convolvulacées) qui compte plus de 500 espèces de plantes volubiles rampantes ou grimpantes. Les jardiniers utilisent de plus en plus les ipomées batatas d’ornement pour apporter du contraste dans les parterres ou dans les suspensions. Un contraste tant dans les couleurs que dans les formes avec par exemple la variété 'Margarita' aux grandes feuilles en forme de cœur d’un vert pétillant ou la 'Blacky' au feuillage découpé de couleur pourpre et aux fleurs bleues sans oublier la 'Purple heart' et la 'Sweet Caroline'. Même si elles tolèrent la mi-ombre, les Ipomea babatas aiment le plein soleil et la chaleur. Pour un bon développement, la température doit avoisiner les 20° C. Le tubercule sera planté dans un sol fertile, léger et frais en été. Un ajout de compost et de fumier décomposé est conseillé si le sol est pauvre. En pleine terre, arrosez-les régulièrement. Le sol ne doit jamais être complétement sec, surtout en été et par temps venteux. Nul besoin d'apporter de l'engrais si le sol a été amendé à la plantation. Pour la culture en pot, pensez à bien drainer le fond du contenant avec une bonne couche de billes d’argiles ou de graviers. Ne laissez pas d’eau dans la coupelle et arrosez dès que la terre sèche sur 1 cm. Si vos ipomées batatas sont installées en pleine terre, ne vous cassez pas la tête et laissez-les dans le sol. Comme elles ne survivront pas à l’hiver, vous devrez racheter des nouvelles plantes ou semez, au printemps, des graines que vous auriez éventuellement récoltées. Par contre, celles installées dans des pots, vous avez deux options : Rentrer le pot dans une pièce lumineuse non chauffée (entre 8 et 12 °C), genre une véranda. Pendant l’hivernage, l’arrosage sera modéré. Le pot pourra être retrouver l’air de l’extérieur mi-mai. Déterrer les tubercules en ne gardant que ceux qui sont sains. Lavés et bien secs, ils seront stockés dans une caisse en carton entre des feuilles de papier journal. Les tubercules ne doivent pas se toucher et le carton ne doit pas être hermétique. Ils risqueraient de pourrir. Installés dans le noir complet à une température allant de 8 à 15°C, vous pourrez les replanter en pot ou encore en pleine terre à la mi-mai, une fois tout risque de gelées tardives passé. 0:00 Ipomées batatas : culture et entretien de ces belles plantes exotiques | Jardins et Loisirs ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Jardins & Loisirs sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/jardins-et-loisirs Facebook ► https://www.facebook.com/JardinsEtLoisirs/ Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_jardins-loisirs?id=20 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #exotic #plants #tuto #diy #doityourself #JardinsetLoisirs #rtbf
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Sur les pentes escarpées qui bordent le Léman, à deux pas de Lausanne en Suisse, se dresse l'un des vignobles les plus incroyables de la planète. Les terrasses de Lavaux révèlent une viticulture ancestrale et hors du commun, dans un cadre à couper le souffle... François Mazure part en Suisse pour découvrir le plus beau vignoble au monde pour les amateurs d'Un Monde à part. 0:00 Le plus beau vignoble au monde se trouve en Suisse - Un Monde à part ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Un Monde à part sur : Le site RTBF TV ► https://www.rtbf.be/emission/un-monde-a-part Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_un-monde-a-part?id=19466 Facebook ► https://www.facebook.com/UNMONDEAPARTRTBF Instagram ???? https://www.instagram.com/unmondeapart_rtbf/ ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #suisse #vin #lavaux #unmondeapart #documentary #reportage #rtbf
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Plus de 20 ans après son lancement chez Delhaize, le self scan ne fait pas la percée attendue dans le secteur de la grande distribution. En 2024, la plupart des Belges continuent d'ailleurs de déposer leurs courses sur le bon vieux tapis roulant au bout duquel se trouve une caissière. La plupart des enseignes, comme Corluyt, Intermarché, Aldi ou Lidl, privilégient toujours les caisses traditionnelles. Seul Carrefour a emboîté le pas à Delhaize. Les deux enseignes estiment à environ 50% la part des clients qui choisissent le self scan. Nous sommes partis à la rencontre des clients et des gérants de différents magasins pour évaluer la situation. Au Delhaize de Burenville (Liège), un vendredi matin comme les autres, l’espace self scan du magasin paraît bien vide à côté des files qui s’allongent aux caisses classiques du magasin. Interrogés dans la file d’une caisse classique, les clients égrènent les bonnes raisons de ne pas passer au self scan. Il y a aussi la quantité de marchandises dans le caddie, le fait de ne pas être pressé ou simplement le poids de l’habitude. "Le self scan, c’est trop compliqué pour moi. J’ai peur de me tromper." Brigitte Cassaro, une employée dans la grande distribution depuis 35 ans, explique que "Cela dépend vraiment des moments. Le vendredi et le samedi, ce sont les jours des gros caddies." "Moi je n’ai pas de carte bancaire, confie un monsieur d’une soixantaine d’années, je paie en liquide, je ne peux pas passer par le self scan." Pourtant, d’après le gérant du magasin, Benoît Labrique, les clients qui choisissent le self scan seraient désormais majoritaires : "Je dirais deux tiers des clients, surtout les petits caddies parce que cela va plus vite." "Cela me paraît beaucoup", nuance Pierre-Alexandre Billiet, le président de Gondola (magazine spécialisé dans la grande distribution). "Les chiffres actuels en Belgique seraient plutôt de 30 à 40% pour le self scan dans les magasins où ce service est offert. Après avoir connu un développement rapide, le self scan plafonne un peu. Il y a même des enseignes, comme Jumbo aux Pays-Bas, qui ouvrent des caisses où il est possible de discuter un peu avec le personnel du magasin", ajoute-t-il. Au self scan, les raisons d’appeler une employée du magasin à l’aide sont nombreuses : le scanner ne reconnaît pas un produit, le prix qui s’affiche n’est pas le même que celui en rayon, une promotion n’est pas enregistrée, la machine fait des siennes… "Cela n’arrête pas", sourit Brigitte Cassaro (Delhaize). "Parfois c’est parce que le client a scanné deux fois le même produit et il n’arrive pas à annuler." Et parfois, c’est parce que le client n’a pas scanné tous les produits. "Les oublis sont fréquents", constate Benoit Labrique. Difficile de chiffrer la fraude au self scan, mais elle serait beaucoup plus importante que via les caisses classiques. "D’un côté cela fluidifie les files dans le magasin, de l’autre la fraude augmente. C’est le revers de la médaille." Revenir en arrière ? "Non", dit Benoit Labrique. "C’est aussi un choix stratégique de l’enseigne d’offrir un service rapide aux clients qui le souhaitent. Là ou d’autres enseignent font plutôt le choix du prix", affirme-t-il. Le groupe Colruyt pourrait d’ailleurs bientôt rejoindre Delhaize et Carrefour. Le leader belge de la grande distribution expérimente notamment un caddie qui scanne automatiquement les marchandises. Selon Pierre-Alexandre Billiet (Gondola), le mouvement vers le self scan est irréversible. "La technologie plafonne pour l’instant mais à plus long terme, les caisses vont disparaître, c’est inévitable. Ce qui va se développer c’est le service en magasin plutôt qu’à la caisse, pour accompagner le client, le conseiller. C’est beaucoup plus utile que de scanner ses produits à la sortie", livre-t-il. 0:00 Self scan dans la grande distribution : les caissières ont encore la cote - On n'est pas des Pigeons ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi On n'est pas des pigeons sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/on-n-est-pas-des-pigeons La page Facebook ► https://www.facebook.com/OnNestPasDesPigeons/ L'émission TV ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=2813 L'émission radio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=8792 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #supermarket #selfscan #ONPP #OnNestPasDesPigeons #RTBF
Vos pommiers n'ont pas été généreux en #fruits ? #jardinsetloisirs vous dit pourquoi #rtbf #shorts
Retrouvez le podcast complet "Face à la juge Gruwez" sur RTBF Auvio : https://link.rtbf.be/facealajugegruwez Raphaël Enthoven est l'accusée du jour. Elle se retrouve dans le bureau de la juge Anne Gruwez (Ni juge, ni soumise) et son greffier David Barbet. 0:00 Raphaël Enthoven face à la juge Anne Gruwez ———————————- La juge Gruwez et son greffier pour l'occasion - David Barbet - se retrouvent pour une émission d’interviews et de confidences en recevant des personnalités telles que Didier Bourdon, Bruno Solo, Natacha Amal, Thierry Beccaro, Yves Duteil ou encore Patrick Weber. Ces personnalités viennent partager leur histoire et se livrent sans réserve face à la juge Gruwez. Retrouvez le podcast complet "Face à la juge Gruwez" sur RTBF Auvio : https://link.rtbf.be/facealajugegruwez ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez Vivacité Sur Auvio ► https://auvio.rtbf.be/chaine/vivacite-10 Sur le site RTBF ► https://www.rtbf.be/vivacite Sur Facebook ► https://www.facebook.com/Vivacite ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #loujean #demainnousappartient #dna #podcast #tribunal #interview #vivacite #vivacitertbf #rtbf 3223273
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Plongée dans la vie intense et palpitante d'un refuge pour chiens et chats. Au fil des abandons, des adoptions, de séances de rééducation, de sauvetages, nous apprenons à connaitre le quotidien bouillonnant des soigneurs animaliers de Sans Collier, ainsi que les histoires fortes des pensionnaires . 0:00 Au coeur du refuge pour chiens et chats sans collier S06E05 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi les aventures de l'ASBL Sans Collier sur : La page Facebook RTBF ► https://www.facebook.com/RTBF/ La page Facebook de l'ASBL Sans Collier ► https://www.facebook.com/SansCollierASBL RTBF Auvio ► https://auvio.rtbf.be/emission/chiens-et-chats-sans-collier-14272 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF 2023 #animaux #chien #chat #refuge #sanscollier #RTBF
Retrouvez l'intégralité du podcast "L'Heure H" sur RTBF Auvio : https://bit.ly/heureh Le 24 avril 1967, Vladimir Komarov survole la planète bleue. Voilà plusieurs heures que l’astronaute est en orbite autour de la Terre. Il est à bord du vaisseau Soyouz 1, fleuron de la recherche spatiale soviétique, qui doit prouver la supériorité russe sur l’Amérique, dans la course aux étoiles. Voilà des mois, des années, que les ingénieurs russes, les pilotes, les scientifiques travaillent à cette mission pas comme les autres. Cela devait être une fête, une célébration de la puissance soviétique confiée à un certain Leonid Brejnev, alors Premier ministre. La grandeur de l’URSS devait s’afficher par-delà les nuages, avec le double décollage des fusées Soyouz. Après le succès de sa première mission en 1964, Komarov gagne en prestige et est affecté à un nouveau programme, intitulé Soyouz. Le programme a, en fait, été lancé au début des années 60. Son objectif est clair : parvenir un jour et le plus vite possible à envoyer un homme fouler le sol lunaire. Dès 1965, on procède à la sélection des cosmonautes qui pourraient, potentiellement, prendre part à la mission Soyouz. Les noms de Vladimir Komarov et Youri Gagarine, tous deux commandants de bord, sont retenus. En mars 1966, les équipages des deux vaisseaux Soyouz 1 et Soyouz 2 sont désignés. Komarov sera seul aux commandes du premier. Son suppléant n’étant autre que Youri. A bord de l’autre engin, on retrouve Bykowky, Khrounov et Elissev. Les préparatifs vont bon train. Un peu trop même… A force de regarder ce qui se fait à l’Ouest, on en vient à bâcler certaines tâches et à ne plus miser sur la sécurité des hommes qui vont s’envoler dans cet espace encore si méconnu. Les cosmonautes qui travaillent sur le projet Soyouz, bien que très fiers de faire partie d’une telle aventure, sont aussi conscients des manquements dans la conception des vaisseaux. S’il y en a un qui est particulièrement furieux, c’est Youri Gagarine. Il sait ce que c’est que de s’envoler seul dans l’espace : il est le premier homme à l’avoir fait. En dépit de tous les voyants qui sont au rouge vif, en dépit des notes, des lettres, des recommandations… les responsables de la mission continuent d’avancer. Il ne faut surtout pas décevoir le pouvoir en place. Alors, le 23 avril 1967, on met tout en place pour le lancement… Soyouz 1 décolle donc le 23 avril 1967, à 00h35. Et rapidement, le vaisseau atteint une orbite située autour de 220 km d’altitude. Tout aussi rapidement, les ennuis commencent… D’abord, Vladimir Komarov constate qu’un panneau solaire, qui alimente Soyouz en électricité, ne s’est pas déployé. Le vaisseau est donc condamné à fonctionner avec moitié moins d’énergie. Mais ce n’est pas tout. Komarov se rend ensuite compte qu’une antenne de secours a obstrué un senseur stellaire, indispensable au contrôle du vaisseau. Peu de temps après, ce sont les communications à haute fréquence qui cessent de fonctionner. Il est seul, dans un habitacle de 9 mètres cubes. A Baïkonour, on sait déjà qu’on court tout droit à la catastrophe. Pourtant, un communiqué officiel est envoyé à l’agence qui relaie l’information, qui tient en trois mots : "Tout va bien". Or, tout ne va pas bien du tout pour Vladimir Komarov. Pendant cinq heures, il va tout tenter pour trouver une solution qui lui laisserait la vie sauve. En vain. Entre les 13e et 14e orbites, les communications sont carrément rompues. Là-haut, seul, un homme fait le tour de la terre, encore et encore, avec au fond de lui une certitude : il ne reverra jamais ni sa femme, ni ses enfants. A 3h22, Soyouz percute la Terre et prend feu. Vladimir Komarov meurt sur le coup. C’est à 1200 kilomètres de Moscou, dans l’immense steppe d’Orenbourg, que l’on retrouve le vaisseau Soyouz, dont il ne reste rien, ou presque. Le choc a provoqué l’explosion des moteurs à poudre, la capsule a été majoritairement détruite par le feu. La plus grande partie reconnaissable du corps de Komarov, dans les décombres, sera l’os de son talon. Après l’accident, Komarov devient un héros national. Son ami de toujours, Youri Gagarine tentera de révéler à plusieurs reprises les conditions de ce terrible accident. Une quête de la vérité qui pourrait bien le mener à sa propre perte ? 0:00 Les géoglyphes de Nazca : qui a tracé ces lignes au Pérou il y a plus de 2000 ans ? - L'Heure H ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez La Première Sur Auvio ► https://auvio.rtbf.be/chaine/la-premiere-6 Sur le site RTBF ► https://www.rtbf.be/lapremiere Sur Facebook ► https://www.facebook.com/LaPremiereRTBF ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #moon #russia #space #histoire #podcast #belgium #lapremierertbf #rtbf 3183950
2024 est l’année électorale la plus folle de l’histoire des États-Unis. Dans le cadre de l’émission #Investigation, nous avons décidé de la suivre en immersion aux côtés des citoyens américains qui vont choisir le destin de leur pays en désignant leur futur président ou leur future présidente. Nous avons parcouru des milliers de kilomètres dans une dizaine d’Etats pour partager le quotidien des Américains et saisir ce qui forge leurs opinions politiques, leurs espoirs et leurs craintes. Un tabou, même dans l’intimité des foyers Une chose nous a particulièrement marquée. Dans ce pays fracturé, évoquer ses désaccords politiques est devenu un véritable tabou, même dans l’intimité des foyers, entre amis ou entre voisins. Bien sûr il y a des exceptions, mais nous avons constaté cette profonde division à chaque étape de notre voyage et de manière beaucoup plus prononcée que lors de la campagne électorale précédente, en 2020. Alors parler de politique quand on ne partage pas totalement le même point de vue, est-ce encore possible aux Etats-Unis ? "C’est comme si on nous écrasait" Toni Foster et son mari, Gary, vivent ensemble depuis 35 ans au cœur des plaines de l’est de l’Oregon. Ce couple de garagistes partage une passion : restaurer des véhicules de collection. Leur immense terrain est d’ailleurs jonché de centaines de véhicules qui retracent à peu près toute l’histoire automobile des Etats-Unis. Nous avons rencontré Toni et Gary Foster 6 mois avant l’élection présidentielle. Ce qui nous a directement marqué, c’est l’amertume profonde qu’ils éprouvent vis-à-vis des dirigeants démocrates, quel que soit le niveau de pouvoir. Pour eux, le président Joe Biden et la vice-président Kamala Harris ont mené pendant 4 ans une politique qu’ils qualifient globalement d’extrême gauche, très loin des valeurs qu’ils défendent. Idem pour les dirigeants démocrates aux commandes de l’Etat de l’Oregon dans lequel ils habitent. "Nos valeurs, c’est d’abord la famille, dieu et le pays. Et c’est comme si on nous écrasait pour les valeurs auxquelles on croit" explique Toni Foster. "Cela engendre beaucoup de méfiance et de haine" Sur presque tous les thèmes clés de cette campagne électorale, l’économie, l’immigration, l’accès aux armes à feu, … ce couple souhaiterait voir un virage ultra-conservateur. "Pour moi, les politiciens que nous avons maintenant penchent tellement vers le socialisme que cela engendre beaucoup de méfiance, beaucoup de haine" affirme Gary Foster. Le terme socialisme est ici utilisé pour qualifier une politique très à gauche de l’échiquier politique. Une "gauche" que Gary Foster ne supporte plus : "si vous n’êtes pas avec de la gauche. Vous avez tort. C’est comme ça. Si vous n’êtes pas d’accord avec leurs valeurs, vous avez tort. Vous n’êtes pas différent, vous avez juste tort" martèle-t-il. Il affirme d’ailleurs qu’il votera pour Donald Trump le 5 novembre. "Je peux vous dire qu’il aime ce pays et qu’il a fait beaucoup pour protéger ce pays" continue-t-il. Son épouse partage les mêmes opinions et constate une profonde division dans la société américaine. "Il n’y a plus de communication explique Toni Foster. Que ce soit leur faute, notre faute ou la faute des deux parties. Il y a une bataille permanente". Le couple affirme posséder plusieurs armes à feu. Un droit inscrit dans le deuxième amendement de la constitution des Etats-Unis. "La volonté du peuple ne peut pas être stoppée s’il est armé nous lance Gary Foster. Et c’est la raison pour laquelle c’est un droit inscrit dans la Constitution. Contre n’importe quel danger". "Venu de l’intérieur ou de l’extérieur" surenchéri son épouse. Des propos qui interpellent dans un pays où on estime qu’il y a plus de 390 millions d’armes à feu en circulation, soit plus que le nombre d’habitants. 00:00 Présidentielles américaines 2024 : les thèmes qui divisent les élections | #Investigation ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Envie d'en savoir plus ? Aux USA, ne plus parler politique en famille pour "ne pas déclencher une guerre" ► https://www.rtbf.be/article/investigation-aux-usa-ne-plus-parler-politique-en-famille-pour-ne-pas-declencher-une-guerre-11449655 ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi #Investigation sur : Le site RTBF Info ► https://www.rtbf.be/info/dossier/investigation Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_investigation?id=16281 Facebook ► http://www.facebook.com/investigationRTBF ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF 2024 #elections2024 #rtbf #investigation #donaldtrump #kamalaharris #usa #étatsunis #america #amerique #maisonblanche #whitehouse #potus #presidentoftheunitedstates
Patrick Weber est à Namur, impatient de pousser la porte de l'hôtel Groesbeeck de Croix dont l'histoire risque bien de vous étonner. Dès le hall, on est frappé par les stucs et la belle harmonie de l'architecture. L'histoire de cette demeure n'a pas été sans quelques rebondissements 0:00 Groesbeeck de Croix : le siècle des lumières à Namur - J'ai les clés S03E06 ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi "J'ai les clés" sur : Le site RTBF TV ► https://www.rtbf.be/archive/j-ai-les-cles Auvio ► https://auvio.rtbf.be/emission/j-ai-les-cles-18581 ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #namur #hotel #histoire #jailescles #patrickweber #rtbf
François Mazure vous fait découvrir la ville de Lausanne, l'une des plus vertes au monde. À deux pas des immeubles se cache une véritable forêt à la biodiversité hors du commun et un panorama à couper le souffle. Une séquence pour les amateurs d'Un Monde à part. 0:00 Lausanne : une forêt en pleine ville suisse parmi les plus vertes au monde - Un Monde à part ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi Un Monde à part sur : Le site RTBF TV ► https://www.rtbf.be/emission/un-monde-a-part Auvio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_un-monde-a-part?id=19466 Facebook ► https://www.facebook.com/UNMONDEAPARTRTBF ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #lausanne #forêt #forest #suisse #unmondeapart #vlog #rtbf
Peut-on diviser par 10 la consommation en eau d’un logement, par 5 l’empreinte carbone de ses occupants, tout en émettant aucun déchet ? C’est la promesse de “l’appartement du futur”, un appartement en plein Paris aménagé par la designeuse belge Caroline Pultz et l’ingénieur Corentin de Chatelperron. Le secret ? Un appartement/laboratoire entièrement équipé de “low-tech” : des technologies simples, durables et accessibles qui pourraient révolutionner nos modes de vie. Alors, à quoi ressemble l’appartement du futur et comment y vit-on au quotidien ? Réponses en vidéo ! 0:00 J'ai testé l'appartement du futur à Paris - Y a Pas de Planète B ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Pour aller + loin : Pour aller + loin : - Notre article sur la question : https://www.rtbf.be/article/11409654 - Pour la part des émissions de CO2 du secteur du numérique (entre autres), cette étude du Shift Project : https://theshiftproject.org/wp-content/uploads/2018/11/Rapport-final-v8-WEB.pdf - Les deux études que cite Jules dans son intervention : https://unctad.org/system/files/officialdocument/der2024_en.pdf & https://www.iea.org/reports/electricity-2024 Et pour toute question ou information complémentaire, n’hésitez pas à nous écrire à l’adresse : yapasdeplaneteb@rtbf.be On vous y répondra avec plaisir ! ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez Y a Pas de Planète B Sur Auvio ► https://auvio.rtbf.be/emission/y-a-pas-de-planete-b-23824 Sur le site RTBF.be ► https://www.rtbf.be/ Sur Facebook ► https://www.facebook.com/yapasdeplaneteb ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #appartement #paris #climat #solution #yapasdeplanèteb #RTBF
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Porter une ceinture de sécurité lorsqu’on est enceinte peut-être inconfortable. C’est pourquoi de nombreux dispositifs ont été conçus pour remédier à ce problème. Pourtant, une récente étude commanditée par Touring met en lumière les dangers potentiels de ces équipements spécifiques. Les dispositifs spéciaux pour femmes enceintes se multiplient, avec plus de 50 modèles disponibles sur le marché, vendus entre 40 et 100 €. Ces systèmes se vendent si bien qu’ils sont souvent en rupture de stock. "Je cherchais des ceintures de sécurité pour femmes enceintes", témoigne une cliente, "mais il n’y en avait plus en magasin." Le modèle le plus vendu promet un confort accru, avec un harnais qui serre moins le ventre, s’installant en quelques minutes. Cependant, tous ces dispositifs ne sont pas aussi efficaces qu’ils le prétendent. Selon des tests de crash réalisés par la société Touring, certains modèles ne retiennent pas correctement le bassin, augmentant ainsi les risques en cas d’accident. Certains dispositifs se sont même cassés lors des tests. Touring a conclu qu’il n’y avait aucune plus-value en termes de sécurité par rapport aux ceintures traditionnelles, qui restent les plus fiables lorsqu’elles sont bien placées. Contre l’épaule, passant entre les deux seins et serrées sous le ventre contre le bassin. La ceinture classique, correctement ajustée, garantit donc une protection optimale, rendant les ceintures spéciales pour femmes enceintes non seulement inutiles, mais potentiellement dangereuses. Les ceintures de sécurité pour ventre arrondi, malgré leur popularité, ne semblent pas offrir la sécurité attendue. Selon les experts, il est préférable de continuer à utiliser la ceinture traditionnelle, qui, lorsqu’elle est correctement positionnée, ne gêne pas et protège efficacement la future maman et son bébé. Ce qui est regrettable c’est que, malgré l’avertissement des professionnels de la sécurité routière, ces dispositifs de retenues soient toujours en vente en ligne et dans certaines enseignes bien connues de puériculture. Pire, le marketing de ces marques de ceintures spécialisées cible également désormais les personnes présentant un certain embonpoint. Passez donc votre chemin, ces compléments de ceinture ne tiennent pas la route. 0:00 Ceinture de sécurité pour femmes enceintes : une fausse bonne idée - On n'est pas des Pigeons ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ???? Retrouvez aussi On n'est pas des pigeons sur : Le site RTBF ► https://www.rtbf.be/emission/on-n-est-pas-des-pigeons La page Facebook ► https://www.facebook.com/OnNestPasDesPigeons/ L'émission TV ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=2813 L'émission radio ► https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_on-n-est-pas-des-pigeons?id=8792 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © RTBF #security #pregnant #car #ceinture #ONPP #OnNestPasDesPigeons #RTBF